Pascale Alice AUBIN … Hypnose , PNL à Rennes…………….. Arrêt du Tabac, Psychogénéalogie, Sexothérapie, RITMO®

Thérapies brèves, Développement personnel, Phobies, Arrêt Tabac, Stress, Anxiété, Angoisses, Burn out, Sexualité, Sommeil, Addictions. ………. Enfant, Adolescent, Adulte, Famille, Couple …..


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Les jeux du printemps

Les jeux du printemps

 

 

Après l’Orage…

 

 

Auteur Andréa Renaud, éditeur Zoé Yatéka Créations

A partir de 6 ans

Durée 20min.

De 1 à 5 joueurs

Après l’orage… le petit pont de bois est détruit, un mouton est séparé de son troupeau, un loup veut l’attraper et un castor répare son barrage.

Dans ce jeu coopératif, vous jouez tous ensemble. Votre objectif commun est de réparer le pont et de faire traverser le mouton sur l’autre rive. Pour réparer le pont, vous allez poser des rondins… Mais encore faut-il les avoir sciés auparavant !

Méfiez-vous du castor qui vous chipe des rondins pour son barrage, au risque de ne plus en avoir assez pour réparer le pont. Avancez judicieusement le mouton par rapport à la réparation du pont et du déplacement du loup et du castor.

Pour cela, à chaque lancer de dé, vous choisirez quel berger déplacer pour déclencher la meilleure action. Communiquez entre vous afin de bien coordonner ces actions pour réussir votre mission et éviter toute mésaventure.

Une belle histoire à conclure, en équipe, avec des scénarios différents à chaque partie.

Quelle en sera l’issue ? C’est à vous de jouer !

 

 

 

 

IMAGIDES

 

Auteur Emily Daly, éditeur Gigamic

A partir de 4 ans

Durée 20min.

De 2 à 12 joueurs

Imagidés est un moyen original et ludique pour faire travailler son imagination et encourager l’expression orale. Lancez les dés et laissez libre cours à votre créativité pour construire ensemble un récit à partir des images révélées. Sans compétition, Imagidés est un jeu universel, amusant et pédagogique, accessible à tous.

 


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Quand la Décoration fait du bien ! (article de Stéphanie Startchenko)

Quand la Décoration fait du bien ! 

(Article de Stéphanie Startchenko, décoratrice d’intérieur pour particuliers et entreprises basée sur Rennes)

 

La Décoration n’est souvent associée qu’à l’esthétisme et à une vision extérieure. Et si elle apportait bien plus…

En effet, on se consacre généralement à la décoration de son intérieur lorsque l’on emménage. Des années après elle reste à l’identique, ou une fois les cartons rangés, nous n’avons plus le temps de nous en préoccuper.

 

Beaucoup aimeraient la changer ou y apporter de petites modifications mais il faut trouver le temps, les bonnes idées, les bons achats en fonction du budget et surtout coordonner le tout !

 

 La décoration de son espace intérieur est un moyen de se ressourcer et aussi de partager des moments agréables avec sa famille et ses amis.

Que ce soit par la couleur, l’encombrement ou le vide, la lumière, l’agencement et/ou le choix de ses meubles, ils permettent de se rééquilibrer harmonieusement et de laisser s’exprimer son soi intérieur.

Aujourd’hui nous avons une multitude de styles et d’inspirations différents qui nous permettent de créer notre univers et de nous y sentir bien.

 

Le printemps arrive, alors sortons les pinceaux, libérons nos bonnes idées et

 

 

 

développons notre créativité !

 

Stéphanie STARTCHENKO

Décoratrice d’intérieur pour particuliers et professionnels.

Site internet : https://www.stephanie-startchenko.com


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Le grand Ménage du Printemps

Le grand « Ménage du Printemps »

Ou comment faire de la place pour ce qui compte vraiment maintenant pour vous

 

 

Avez-vous déjà entendu parler du « Ménage de Printemps » ?

 

Certains le font systématiquement à la venue de cette saison, d’autres se disent qu’un jour, ils le feront.

 

Et si cette année nous considérerions qu’il ne suffit pas seulement de passer un coup de chiffon à fond partout, de faire le tri dans les vêtements qui n’ont pas été portés depuis plus de 6 mois, de vider le fameux tiroir fourre-tout où attendent les éléments oubliés, mais aussi de nous dire que nous pouvons faire un « Ménage de Printemps » sur et en nous-même ?

 

Car le Printemps est une saison souvent synonyme de renouveau, apportant l’énergie, la lumière bienfaisante pour se sentir encore plus positif avec nous-même. Ce renouveau qui nous apporte une vraie force pour faire progresser ou réaliser ce que nous souhaitons.

 

Le Printemps synonyme de Ménage !

Et si nous nous disions que le printemps est synonyme de grand ménage, mais dans toutes les sphères de notre vie ? Au travail et dans nos projets personnels bien sûr, mais aussi dans nos relations, et dans notre tête. Ce peut être l’occasion d’évacuer, nettoyer, reconsidérer partout, là où on en a besoin (et même dans les endroits auxquels on ne pense pas!) pour faire de la place et libérer de l’espace pour ce qui compte vraiment.

Car, s’il est vrai qu’au début de l’année nous avons redéfinis nos envies et nos besoins, un trimestre est déjà passé et nous a permis de constater que, peut-être:

. Un trimestre s’est déjà écoulé et peut-être nous ne savons plus quoi prioriser?

· Nous nous demandons si ce que nous sommes et ce que nous voulons être sont en phase avec les objectifs que nous poursuivons depuis le début d’année?

· Nous ressentons le besoin de prendre une petite pause pour faire le grand ménage afin de donner un nouvel élan à nos rêves?

· Nous souhaitons profiter de l’arrivée du printemps pour développer nos idées

· Nous avons envie de renouer avec la sensation stimulante que nous avons ressenti en début d’année et qui semble se disperser, diminuer ?

Le Ménage dans tout ce qui constitue notre vie

On peut ainsi reconsidérer des « univers » auxquels on ne pense pas comme :

. Dans notre travail, afin de pouvoir se dire et regarder (voire analyser) les choses qui ne nous correspondent plus, ou prendre conscience de nos mauvaises habitudes qui ont le don de nous mener la vie dure. C’est aussi de voir ce qui nous enthousiasme, nous anime encore assez pour y consacrer énergie et motivation, et ce qui, avec le temps, est devenu une corvée plus qu’une fierté.

· Dans nos relations, afin de voir avec qui les instants sont plus tendus, quelles amitiés, quels rapports ont besoin d’un peu plus d’amour, d’attention, ou même d’honnêteté pour mieux avancer et évoluer.

·Dans notre tête, afin de pouvoir dire adieu à la culpabilité qui nous pèse, à ces crises qui ne nous sont pas nécessaires. Et tout ça avec un frigo propre, une garde-robe actualisée et un tiroir fourre-tout (vide-tout) vide 😉

 

Et si nous envisagions notre « To-do list » par une « Toute douce liste » ?

Si nous nous intéressons à notre vie on s’aperçoit que nous avons accumulé des choses et ceci, depuis trop longtemps. Peut-être avons-nous fait ces fameuses « To-do lists » (ou liste des choses à faire), et étrangement, il est des éléments qui passent d’une « To-do list » à l’autre, s’acharnant, perdurant malgré les années. Vous savez, ces choses qui viennent après « Un jour, je ferai… » ou « Quand j’aurai le temps, je… ». Des projets qui nous tenaient à cœur autrefois, mais qui ne sont plus à l’ordre du jour maintenant. Des hobbies, des envies qu’on voulait réaliser (un jour…), mais qui doucement prennent la poussière…

Ne serait-il pas intéressant de se poser un moment et de se dire, que non, après 3 ans, tel projet ou telle situation ne se reproduira plus ou pas… et qu’il est peut-être bien de l’évacuer ? Ainsi, nous pourrons passer de l’impression de pression (non nécessaire) à la libération d’un boulet.

C’est probablement la meilleure motivation dont nous avons besoin pour poursuivre avec seulement ce que nous souhaitons garder dans notre « programme principal ». Car soyons clair, avoir une « to-do list » avec des points qui nous chargent, ça nous freine !

Alors, autorisons-nous à constituer une « To-do list » réactualisée et pourquoi pas, créons aussi une « Toute douce liste ».

 

Cette « Toute douce liste », nous permettra d’écrire, de noter tout ce que nous souhaitons faire qui nous fasse vraiment du bien,

une liste de ces petites douceurs que nous pouvons nous offrir dans notre quotidien et qui ne prennent pas trop de temps ni d’argent obligatoirement , une liste qui en un sens pourra aussi rendre plus accessible l’exécution de notre « To-do list ».

 

Et si avec ce « Ménage de Printemps » nous pouvions nous sentir plus :

.En accord dans nos prises de décisions pour assurer notre succès, nos avancées

.Conscients de l’importance des mots, des termes que nous utilisons pour redéfinir nos objectifs

.Connectés sur ce que nous souhaitons vraiment réaliser d’ici l’été

.À l’écoute de notre instinct pour pouvoir définir nos choix

.Confiants face aux défis qui nous attendent au cours de ce trimestre

 

 

L’hypnose et les Thérapies Brèves  permettent de développer la confiance en soi et en les autres.

C’est une clé pour obtenir et conserver une véritable sérénité face à ce qui se présente à nous et permettre ainsi de devenir un accompagnateur bienveillant pour avancer au mieux pour chacun.

N’hésitez pas à me contacter pour en parler.

 


Les jeux de société et leurs références

Les jeux de société et leurs références

 

 

LA CHASSE AUX MONSTRES

 

 

Auteur Antoine Buzza, éditeur Scorpion masqué

A partir de 3 ans

Durée 10min.

De 1 à 6 joueurs

La chasse aux monstres est un jeu de mémoire coopératif. Pendant la nuit, des monstres se cachent sous le lit des enfants. Mais heureusement, un simple jouet les effraie! A vous de retrouver le bon jouet. Mais attention, si on se trompe trop souvent, de nouveaux monstres apparaissent. Et s’ils parviennent à encercler le lit, la partie est perdue. A vous de jouer !

 

 

 

 

Tout à fait adapté à un rituel du soir pour mettre doucement au lit les enfants de 3 ans et plus, ce jeu apaise volontiers les enfants et les mettent en situation d’en aider un autre. Pour les enfants qui ont peur des montres la nuit, c’est un jeu qui les aide à relativiser et à comprendre qu’ils peuvent avoir le dessus sur ces monstres ! Comme la difficulté adaptable le rend accessible au plus grand nombre, petits et grands peuvent jouer ensemble et s’entraider efficacement : la mémoire des uns viendra compléter la stratégie des autres. Ajoutez à cela un matériel réussi (quelle que soit l’édition) et des graphismes accrocheurs : quel que soit votre âge, vous passerez de très jolis moments autour de ce jeu.

 

 

 

RUSH HOUR

 

 

Editeur Thinkfun

A partir de 8 ans / adultes

Durée 10min.

De 1 ou collaboratif

Découvrez 40 défis de niveau progressif, pour petits et grands. L’objectif est de sortir la voiture rouge d’un gros embouteillage en faisant glisser sur le plateau les véhicules qui la bloquent. À vos méninges, prêts, partez ! Logique, réflexion et déduction pour tous les âges !

 

 

 

 

 

 

MÖLKKY

 

 

A partir de 6 ans

Durée 30min.

A partir de 2 joueurs

Tout comme la pétanque ou le bowling, le mölkky est un jeu d’adresse qui se pratique le plus souvent en équipe. Mais celui-ci demande une bonne dose d’habileté couplée à une stratégie bien rodée. En effet, le jeu nécessite de marquer un total exact de 50 points. Ni plus, ni moins au risque de voir son score chuter à 25 si celui-ci était dépassé. Ce qui peut s’avérer délicat sachant que le nombre de points obtenu est très variable : si un lanceur atteint une seule quille en un coup, il va récolter la valeur numérique inscrite dessus. En revanche, s’il en touche plusieurs à la fois, le nombre de points sera équivalent au nombre de quilles (c’est-à-dire 3, si il s’agit de 3 quilles mises à terre par exemple).

Le mölkky nécessite un bâton en bois, plus léger à porter qu’une boule de pétanque. Ce qui en fait un jeu plus accessible pour les enfants et les personnes ayant des problèmes d’articulations ou de dos.


Et si les écrans envahissaient moins notre quotidien ?

Et si les écrans envahissaient moins notre quotidien ?

 

 

Aujourd’hui les écrans prennent une place de plus en plus importante dans nos vies.

La télévision, les tablettes, les ordinateurs, les téléphones, les consoles…

Chaque jour nos enfants et nous, côtoyons au moins l’un de ces écrans.

Alors comment faire pour que ces écrans ne prennent pas trop de place dans notre vie et dans celle de nos enfants ?

Quels sont les dangers d’une exposition trop forte aux écrans ? Comment faire pour que cette proximité avec tous ces écrans ne nous rendent pas « addict »?

 

Quelques chiffres comme entrée en matière histoire de savoir ce de quoi nous parlons. Ainsi :

Entre 4 -14 ans = 3 heures/jour de TV

50 ans et plus = +5 heures/jour de TV

Usage récréatif (TV + tél.+ ordi. + jeux) pour les 8 – 18 ans = 7 heures/jour soit 3,5 mois par an !

SMS Ado : 3700 à 4000 échangés par mois soit 120-130/jour y compris la nuit !

Plus de 2 heures de TV par jour équivaut à 40% de temps en moins pour interagir avec sa famille

 

La vie de famille et les écrans

Notre attention et notre temps disponible est de plus en plus accaparé par les écrans quel que soit notre âge. Certains foyers mangent devant la télévision, d’autres gardent le téléphone à portée de main en toute occasion même à table. Dans de telles situations, la relation familiale est quasi absente, le dialogue et la communication sont étouffés. Car, le fait de se savoir « connecté » est tellement fort et puissant que nous portons plus d’intérêt à tous ces écrans qu’aux membres de notre foyer.

De nombreuses personnes travaillent avec les écrans comme support, même les enfants en milieu scolaire en font l’usage. Nous sommes donc de fait quotidiennement exposés aux écrans. Aussi, nous devons savoir ou apprendre à nous en protéger, à nous en détacher et à en gérer l’utilisation.

Face à cet envahissement, il est important de montrer l’exemple aux enfants. Car, en ne faisant pas des écrans une priorité, nous leur transmettons un message: celui de leur faire comprendre que la vie est riche, que l’on trouve du plaisir dans de très nombreuses activités, que l’on peut privilégier les rencontres, les échanges et les sorties.

 

Lorsque nous,  parents,nous montrons qu’il est possible de faire d’autres choses que d’être devant les écrans, et ce dès le plus jeune âge, les enfants le comprennent et sont ensuite capables de réguler leur rapport aux écrans beaucoup plus facilement en grandissant.

 

Cela leur permet aussi d’échanger davantage, le langage devient plus fluide et plus riche et ils développent  ainsi  une capacité d’attention et d’écoute.

 

 

Les dangers d’une exposition quotidienne aux écrans


Il faut savoir que notre cerveau fonctionne avec des ondes mais les écrans envoient aussi leurs propres ondes qui de ce fait viennent modifier le fonctionnement de nos ondes cérébrales.


Il est reconnu que la télévision plonge notre cerveau et notre corps dans un état de passivité proche de l’état hypnotique. Les informations regardées viennent donc directement s’inscrire dans notre inconscient.


D’ailleurs, les producteurs, les réalisateurs, les animateurs d’émissions de télévision ont bien compris ce principe. Leur travail consiste à rendre notre cerveau plus malléable, plus disponible afin que nous soyons très réceptifs aux messages publicitaires.


A ce propos l’ex-PDG de TF1, Patrick Le Lay disait :

« Il y a beaucoup de façons de parler de la télévision. Mais dans une perspective ”business”, soyons réaliste : à la base, le métier de TF1, c’est d’aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit (…). Or pour qu’un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c’est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c’est du temps de cerveau humain disponible (…). Rien n’est plus difficile que d’obtenir cette disponibilité. C’est là que se trouve le changement permanent. Il faut chercher en permanence les programmes qui marchent, suivre les modes, surfer sur les tendances, dans un contexte où l’information s’accélère, se multiplie et se banalise. « 

 

 

Le neuroscientifique Michel Desmurget a d’ailleurs écrit un livre fort intéressant  » TV lobotomie : la vérité scientifique sur les effets de la télévision « . Dans cet ouvrage, il nous indique que les enfants sont très influencés par la télévision, qu’elle dispose d’un pouvoir sur eux qui les rend totalement absorbés par elle et que de ce fait, leur imagination  s’en trouve impactée mais de façon néfaste.

« La télévision capture l’imagination mais ne l’affranchit pas. Un bon livre stimule et libère immédiatement l’esprit. » Michel Desmurget.

 

Dans la vidéo que je vous propose de regarder par la suite, ce même neuroscientifique nous parle des effets de la télévision et des jeux vidéos. Il suffit de cliquer sur l’image.

 

Daniel Desmurget y précise :

« Un enfant passe plus de temps devant la télévision que devant son instituteur dans une année !!! »

 

Ainsi donc, les écrans mal gérés dans la famille peuvent être néfastes pour les enfants, surtout pour les plus petits qui ne sont pas suffisamment matures pour prendre le recul nécessaire. Car il faut savoir que les écrans peuvent déclencher des émotions très fortes qu’ils ne peuvent gérer et donc de modifier leurs aptitudes  notamment en terme de vigilance.

 

Il semble primordial de ne pas mettre les enfants devant la télévision, la tablette ou le téléphone trop longtemps chaque jour et de ne pas considérer l’écran comme un doudou ou une nounou.

Quand l’écran devient une addiction

La télévision et les écrans en général peuvent très vite prendre beaucoup de place dans notre vie et celle des enfants.
Lorsque l’enfant est exposé très tôt à la télévision il peut développer un reflex de Pavlov.

Par exemple, dès que l’on est réveillé on commence par regarder son téléphone, ou pour les plus petits dès qu’ils sont débout ils vont aller allumer la télévision avant qu’on ne leur apporte leur petit déjeuner devant. Mais ces réflexes s’installent aussi chez les adultes…

 

Les écrans peuvent très rapidement nous rendre « addict » car ils entraînent un état de passivité qui ne demande pas d’effort à fournir, ni physique ni cérébral. C’est donc une activité très attrayante pour les enfants comme pour les adultes, notamment lorsque nous sommes fatigués. Le problème pour les enfants c’est que cela va les énerver et ajouter de la tension à la fatigue. Dès lors, la crise n’est plus très loin…

 

Lorsque l’habitude est installée, les enfants s’accoutument aux écrans et le temps disponible pour jouer, créer, imaginer, se dépenser (et ne rien faire aussi) est alors très nettement diminué. Mais il en est de même pour nous les adultes qui ne parvenons plus à lire, échanger, nous poser, en dehors de ces petites lucarnes.

 

Alors, proposons nous tout autant qu’à nos enfants de nous reconnecter avec la nature, avec ce et ceux qui nous entoure, à aller chercher de nouvelles choses comme un jeu, un livre, une création et ressentons comme nous sommes contents d’avoir fait cela par la suite.

 

 

Les problèmes qu’apportent les écrans sont réels. Les enfants très exposés à ces fameux écrans sont plus susceptibles de développer des troubles attentionnels, des troubles du comportement et des troubles du sommeil. Il a été mis en évidence qu’ils ont trois fois plus de chance d’être en surpoids et augmentent de plus d’un tiers le risque d’échec scolaire et d’attention. Cette liste de dangers n’est malheureusement pas exhaustive .

Il a même été constaté au Japon que de plus en plus d’enfants étaient myopes du fait des écrans. Suite à cette étude, il a été proposé à des écoles d’allonger la durée de la récréation (amenant les enfants à regarder à une plus grande distance ce qui les entoure) et ainsi, ils ont pu constater que la myopie a notoirement baissée auprès de ces enfants comparés aux autres écoles.

Pour les adultes, il en est de même avec l’attention qui vacille d’une part et un risque accru d’AVC d’autre part.

 

Alors, et si nous nous déconnections un peu plus pour nous retrouver déjà avec nous-même et ensuite avec les autres ?

 

Et si nous considérions la consommation d’écran comme n’étant qu’une petite partie de notre quotidien pour laisser plus de place pour vivre simplement avec ce qui nous entoure et que nous nous sentions libre de choisir ce que nous voulons faire plutôt que de subir ?

 

Autorisons-nous à aller faire un petit tour autour de chez nous pour découvrir des lieux sympa et conviviaux.

 

Autorisons-nous à pousser la porte des boutiques de jeux de sociétés (qui marchent tous seuls sans piles et sans écrans), autorisons-nous à passer juste un moment paisible avec une petite musique en fond sonore tout en nous relaxant…

 

Bref, autorisons-nous à nous déconnecter !

 

 

 

L’hypnose et les Thérapies Brèves  permettent de développer la confiance en soi et en les autres.

C’est une clé pour obtenir et conserver une véritable sérénité face à ce qui se présente à nous et permettre ainsi de devenir un accompagnateur bienveillant pour avancer au mieux pour chacun.

N’hésitez pas à me contacter pour en parler.

 


Tabac, et si on devenait « NON FUMEUR »?

Tabac, et si on devenait « NON FUMEUR »?

 

 

Qui n’a jamais entendu les mots Nicorette, Nicopatch, NTB,  Zyban, Champix, Tabac info services…?

Depuis longtemps, il est proposé de nombreuses méthodes et des médicaments pour aider les gens à cesser de fumer.

Mais comment se fait-il que si peu de personnes parviennent à devenir « NON FUMEUR » définitivement ?

Et si l’Hypnose était La Solution rapide et efficace pour être « NON FUMEUR » ?

 

Qui n’a jamais réussi ou connu une personne qui a arrêté de fumer et a repris et qui se dit : « j’aimerais tellement devenir définitivement « NON FUMEUR  » !

Qu’est-ce qui fait que ce soit si compliqué d’écraser définitivement la cigarette ?

Et si c’était parce que simplement l’on croit qu’on est « Dépendant » du tabac et que l’on ne dispose pas de suffisamment de « volonté » pour s’en sortir ?

 

Et si grâce à l’Hypnose on parvenait à changer des croyances pour devenir libre de choisir à plus de liberté ?

 

Certes nous disposons d’une foultitude d’informations (parfois contradictoires) sur la « dépendance » à la cigarette, mais comment se fait-il que de très nombreuses femmes enceintes s’arrêtent illico de fumer dès lors qu’elles ont connaissance de leur grossesse et cela sans stress et sans médicaments, tout en restant zen et souriantes ? Serait-ce dû juste à une hormone produite lors de la grossesse ?

 

Mais dans ce cas, comment se fait-il que l’entourage soit tout aussi capable d’arrêter la cigarette en même temps tout en restant bien dans ses baskets ? Pourtant l’entourage ne peut pas arguer qu’il a développé une hormone spécifique …

 

Et si on considérait autrement les croyances liées à la cigarette pour faire que l’on puisse devenir « NON FUMEUR » rapidement, en se sentant bien et libre ?


Tenez, je vous propose de faire une liste à la Prévert de vos croyances installées qui concernent l’arrêt de la cigarette et échangeons à ce sujet si vous le voulez bien…


Je vous invite aussi pour ceux qui sont déjà parvenus à arrêter de fumer de faire une liste des bienfaits ressentis lors de cet arrêt.


Et pour aller encore plus loin, voici une petite vidéo qui vous explique les bienfaits 
sur notre corps à devenir « NON FUMEUR » . Et vous allez vous rendre compte que certains bienfaits arrivent très rapidement, dès 20 minutes après…

 

Alors, qu’est-ce qui fait que l’on soit encore fumeur tout en sachant que dans chaque cigarette il y a :

4600 Produits Chimiques

dont

70 Cancérigènes

20 Mortels.

 

 

Pourquoi est-ce si compliqué d’écraser ?

 

Peut-être que c’est juste une question d’informations erronées qu’il suffit de laisser tomber lorsque l’on découvre les vrais raisons, les éléments et les informations qui vont nous donner les ressources pour devenir définitivement « NON FUMEUR ».

 

Pour cela, l’Hypnose développée avec la méthode ATH est là pour vous accompagner. Ainsi, en deux séances ( espacées de deux semaines dont la première dure environ quatre heures), vous devenez « NON FUMEUR » de façon pérenne et en toute simplicité.

 

Sachez que 3 personnes sur 4 sont devenues « NON FUMEUR » à l’aide de cette méthode.

 

Je suis à votre écoute pour échanger et pour vous accompagner dans le Choix d’ être « NON FUMEUR ».