Pascale Alice AUBIN … Hypnose , PNL à Rennes…………….. Arrêt du Tabac, Psychogénéalogie, Sexothérapie, RITMO®

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Et si on retrouvait la Confiance en Soi ?

Et si on retrouvait la Confiance en Soi ?

 

ESTIME OU CONFIANCE ?

L’estime et la confiance ont beau être proches, elles ne sont pas pour autant identiques.

 

L’estime correspond à notre amour propre. C’est la fierté que l’on ressent  des actions que nous menons dans des domaines tels que : la réussite professionnelle et personnelle, notre comportement face à différentes situations, notre physique,…

L’estime de soi dépend de tous ces composants, c’est se savoir « méritant », « j’estime que je mérite que… ».

Le manque d’estime peut amener à la dépression ou vers des addictions, l’échec scolaire peut en faire partie.

La confiance en soi, c’est se savoir et se sentir capable d’accomplir des actions que l’on souhaite ou bien des actions nécessaires pour progresser. Ainsi quelque soit la situation qui sera rencontrée, nous saurons y faire face simplement et avec un sentiment de sécurité. Détenir cette confiance nous permet d’être plus apaisés.

 

 

 

Comment avoir confiance ?

Le manque de confiance nous handicape et ne facilite pas notre épanouissement.

 

Et si nous nous posions la question « qui a le plus confiance en moi ? »

            Si la réponse est quelqu’un d’autre que moi, cela nous empêche :

  • d’aborder des sujets délicats mais importants tant dans notre vie perso. que pro.
  • de s épanouir,
  • d’aborder les gens sereinement,
  • ….

 

Ce manque de confiance nous empêche d’avancer simplement dans la vie.

Plutôt que de nous dire « il faut que je sois beau/belle pour trouver un compagnon », « quand je serai riche j’aurai confiance en moi »,…  Si nous partions du principe que nous avons acquis  la confiance en nous, nous pourrons alors agir naturellement vers ce quoi nous aspirons, et nos aspirations auront peut-être changées du fait de cette confiance ancrée qui nous fait voir les choses d’une autre façon.

 

 

Comment sait-on que l’on manque de confiance en soi ?

Le manque de confiance se reconnaît dès lors que l’on n’ose pas faire quelque chose de peur du regard de l’autre ou de peur de l’échec.

La peur la plus courante concernant la confiance est la peur de parler en public.

Quelques exemples pour  reconnaître le manque de confiance en soi :

  • Lorsque quoi que l’on fasse on se préoccupe exagérément de ce que les autres pensent de nous,
  • Lorsque l’on veut toujours être agréable, gentil avec tout le monde de peur de contrarier quelqu’un,
  • Lorsque l’on a peur de ne pas être à la hauteur,
  • Lorsque l’on n’arrive jamais à dire non,
  • Lorsque l’on semble froid, de peur de laisser surgir ses vrais sentiments,
  • Lorsque l’on ne cesse de demander à l’autre de nous confirmer dans notre beauté ou dans le fait d’être aimé.

 

 

Qu’est-ce qui fait que l’on manque de confiance ?

Cela remonte généralement à l’enfance, à notre vécu et aux expériences de chacun. Cela peut être du fait de parents trop présents ou autoritaires, d’un cadre à l’école où les réflexions des profs  étaient négatives et que nous n’avions pas la possibilité d’expérimenter ailleurs ce sentiment de confiance pour « équilibrer ».

 

 

Que peut-on faire pour avoir confiance en soi ?

Même si la confiance a été perdue, nous pouvons la reconquérir. Tout cela va dépendre de la façon dont nous allons aborder et considérer nos expériences de vie qu’elles soient bonnes ou mauvaises (voir le verre à moitié plein ou à moitié vide…).

 

Trois éléments interagissent pour installer la confiance

  • les émotions
  • le corps
  • l’esprit

Les trois éléments agissent les uns sur les autres. Ainsi, si notre corps est détendu, notre esprit le sera aisément.

 

 

Comment travailler sur le corps ?

Travailler sur le corps permet de passer d’un état de stress à un état de détente et de relaxation.

Pour cela, nous pouvons mettre en place différentes pratiques pour permettre au corps d’accéder à plus de détente.

 

 

Et si on apprenait à respirer ?

La majeure partie des personnes respirent mal, intéressons-nous à notre respiration, est-elle rapide dans l’inspiration et l’expiration ? Si oui, nous augmentons plus rapidement l’état de stress dans certaines situations et cela influe donc sur notre esprit.

Respirer plus longuement et profondément permet de réduire le stress et de retrouver son calme plus aisément et plus rapidement.

 

Comment respirons-nous ?

Il existe deux types de respirations:

  • la respiration thoracique,
  • la respiration abdominale.

Pour savoir quel type de respiration nous pratiquons naturellement, je vous invite à poser une main sur votre poitrine et l’autre sur votre ventre.

Et lorsque nous inspirons, intéressons-nous à savoir quelle main bouge.

Si c’est au niveau de la poitrine, c’est une respiration thoracique. Cette respiration est la plus courante mais comporte aussi les plus courtes respirations.

Si c’est au niveau du ventre, c’est une respiration abdominale. Cette respiration permet de se détendre, de se relaxer. C’est cette respiration qu’il faut activer lorsque l’on se sent stressé ou angoissé.

 

En respirant profondément et lentement par le ventre,  nous détendons nos muscles et respirons comme un bébé. C’est un vrai massage qui s’exerce.

 

Dès lors, dès que nous sentirons qu’une situation stressante ou angoissante se présente à nous, il suffira de s’attarder à prendre la respiration abdominale et longue, cela nous amènera à plus de calme.

 

 

Et si nous envisagions la relaxation ?

La relaxation permet de détendre tant le corps que l’esprit. Lorsque je parle de relaxation j’entends aussi d’autres pratiques comme la sophrologie, la méditation, le yoga,… Il existe pour chacun une technique qui lui conviendra plus qu’une autre.

Ces moments de relaxation permettent d’avoir une meilleure écoute non seulement de son corps mais aussi de son esprit et de ses émotions.

 

 

Et si on s’autorisait à s’exprimer corporellement ?

Faire des activités comme la danse, le sport, le théâtre,… permet de mieux accepter son corps et d’ôter certains complexes physiques et de diminuer la timidité.

Par exemple le théâtre d’improvisation permet de dépasser ses limites, d’exprimer ses émotions et de modifier sa communication. Il en est de même aussi avec les sports de combat.

 

 

Et si on bichonnait son corps ?

Rien de tel qu’un petit massage pour se détendre et évacuer le stress, un bon bain, ou bien s’autoriser à se cocooner confortablement installé avec un thé et une ambiance paisible…

 

 

Et si on changeait la posture de notre corps ?

Qui n’a jamais remarqué que suivant la manière dont on se tient, les autres peuvent presque lire notre état émotionnel ?

Voici un petit exercice :

  • baissons la tête et marchons les épaules basses pendant 5 min. Très rapidement, nous allons nous sentir triste. Il nous suffit de nous redresser pour déjà nous sentir mieux !

 

Alors, n’hésitons pas à :

  • garder le regard haut et droit,
  • regarder les personnes dans les yeux lorsque nous leur parlons,
  • marcher droit la tête haute,
  • avoir une posture bras ouvert et pas bras croisés.

 

Essayons de nous rappeler des personnages qui nous fascinent par leur prestance et intéressons-nous à leurs postures.

 

 

Et si l’on parlait de la zone de confort ?

La zone de confort est la zone qui nous permet de se sentir en sécurité, en confiance. Suivant les personnes cette zone de confort est plus ou moins étendue autour de soi.

La zone de confort peut être déterminée par une distance entre soi et les autres personnes, le fait d’être dans certains lieux fait que cette zone est plus ou moins grande (en général notre appartement nous permet d’avoir une grande zone de confort).

Lorsque que l’on ressent de l’anxiété, du stress, c’est que l’on s’éloigne de sa zone de confort, on ressent alors comme une  peur de l’inconnu…

Certes, rester dans sa zone de confort, nous évite de prendre des risques, mais pour autant on peut aussi sentir que cette zone de confort peut à long terme devenir inconfortable par le fait que nous ne parvenons pas à accéder à de nouvelles choses qui nous attirent. Dès lors, même si la peur de sortir de notre zone de confort reste présente, faire l’effort d’en sortir permet d’ouvrir sa zone à plus de place et plus de confiance.

 

Pour pouvoir sortir de cette zone et donc de l’agrandir pour se sentir mieux, il va falloir vaincre sa peur d’agir. Pour cela, il va falloir « passer à l’action ! ». En clair, nous allons commencer à nous dépasser, à mettre un pied en dehors de notre zone de confort, car sortir ne serait-ce qu’un pied, voire même un orteil c’est déjà un bon commencement, non ?

D’ailleurs, si nous réfléchissons bien, nous sommes déjà au moins une fois au cours de notre vie sorti de notre zone de confort. Si si, allez, je vais vous donner un exemple dont vous n’avez peut-être plus le souvenir….Nos premiers pas sans nous tenir, notre première expérience en vélo sans les petites roues… Ces expériences nous ont fait sortir de la zone de confiance de l’époque et depuis une nouvelle zone s’est installée. Et lorsque nous avons fait cette sortie de notre zone de confort, peut-être avons-nous été confronté à quelques échecs et pourtant nous avons réitéré et sommes parvenu à ce que nous souhaitions.

Et si on apprenait à gérer les échecs ?

L’échec peut soit nous affaiblir, nous bloquer, soit nous rendre plus fort et nous donner le courage de réussir la prochaine fois. Chacun dans sa vie aborde des échecs, l’important c’est de tirer une leçon de vie de ceux-ci.

Nous apprenons toujours de nos erreurs si nous analysons sereinement ce qui s’est passé et la manière dont nous avons réagi. L’expérience que l’on retirera nous renforcera pour parer la prochaine fois à certains éléments récurrents. Et peut-être trouverons-nous de nouvelles options qui n’avaient pas été envisagées auparavant et qui nous permettront d’atteindre plus facilement notre objectif.

 

 

Et si nous pensions positif ?

Plutôt que se répéter « tu n’y arriveras jamais, c’est pas pour toi, …. »

Et si nous envisagions de penser à nos qualités ? Si si  nous avons des qualités, cherchons un peu, nous allons en trouver, nous pouvons aussi demander aux personnes qui nous entourent ce qui les frappent le plus, et ensuite continuons notre enquête…

En faisant ressortir nos points positifs, nous ressentirons plus de confiance quant aux actions à effectuer.

 

 

Et si on laissait le passé à sa place ?

Souvent, nous nous sommes  collé des étiquettes dans notre passé. Qui n’a jamais entendu des phrases du style :

  • tu n’y arriveras jamais tu es nul en math !
  • de toute manière dans la famille on sait pas chanter !

 

Laissons à sa place ces croyances et ces petites phrases ou situations du passé, et

permettons-nous  de nous concentrer sur nos qualités présentes et notre capacité à développer les valeurs qui nous importent maintenant !

 

 

Et si on notait notre confiance sur une échelle ?

Cette échelle va permettre d’identifier chaque situation et de dire à quel niveau de confiance nous sommes.          (1 correspondant à pas de confiance du tout et 10 sera une totale confiance en soi).

Plus l’on va vers le noir plus la présence du stress se fait ressentir et moins l’action est possible.

Une telle échelle nous permettra par la suite de constater que suivant les actions ou situations notre confiance varie et que pour une même action dans le temps notre confiance peut évoluer. Ainsi, nous pourrons constater les progrès que nous aurons effectués, ce qui ne fera qu’augmenter notre confiance pour d’autres événements ou actions à venir.

Et si on décidait soi-même ?

Plutôt que de considérer que nous ne sommes pas acteur de ce qui nous arrive et donc avoir des excuses et se morfondre dans des situations peu agréables, osons prendre notre vie en main afin de se sentir libre d’agir pour notre bien ! Ainsi la confiance a la place pour s’installer en toute simplicité !

 

 

Et si nous gérions nos émotions ?

Nos émotions sont conditionnées par nos croyances. Les croyances négatives amènent à être beaucoup plus sensibles aux émotions négatives ce qui nous portera à aller plus facilement vers un état dépressif et à se replier sur soi, sur des regrets, sur des ressentiments.

Osons changer nos croyances et orientons-les vers le positif. Pour cela, envisageons ce que nous voulons pour nous (option réussite, bien-être) plutôt que ce que nous ne voulons pas. Cela va générer des émotions positives et un apport d’endorphines génératrices de bien-être pour aller de l’avant. Pour cela, il va nous falloir émettre des phrase où la négation est absente !!!

Si on se visualise en option réussite, tout semble plus simple et accessible, ça peut-être intéressant de s’essayer à cela, non ?

En orientant ses croyances et donc ses émotions vers le positif, il sera beaucoup plus aisé d’affronter des situations ou des événements qui de prime abord semblent difficiles.

 

 

Quelques petites astuces pour entretenir la confiance au quotidien 

Nous ne sommes pas tenus de faire la même mauvaise tête que nos voisins !

Car tout le monde n’est pas ainsi et nous verrons qu’au cours de la journée nous rencontrerons des personnes comme nous qui aborderont la vie plus simplement et nous « boosterons »  encore plus au lieu d’aller vers le « côté obscur » au risque de se pourrir la journée.

 

Laissons de côté les infos, le journal télé !

Qui n’ jamais constaté que plus de 80% d’un journal télé ou d’infos est constitué de mauvaises nouvelles ? La télé nous amène à être passif et à absorber quotidiennement ces infos plombant notre moral. Osons désactiver la télé parfois dans la semaine et reprenons le bon vieux journal qui nous permet de zapper ce que l’on ne souhaite pas et de s’intéresser à ce que l’on veut, allant même jusqu’à découvrir des infos ou des choses dont on n’avait jamais entendu parler !

 

Cessons de nous préoccuper du regard des autres !

Car, il faut être clair, tout le monde ne porte pas attention à nous d’une part, d’autre part nous ne sommes pas médium, nous ne pouvons donc pas vraiment savoir ce qu’ils pensent. Et ce n’est pas leurs pensées qui va nous faire avancer !  Cela nous enlèvera un poids, et nous permettra d’être nous-même et même de rencontrer des personnes qui apprécieront notre comportement … Et quand bien même ils n’appréciaient pas, c’est notre vie que nous menons ( ce n’est pas eux qui nous dirigent et ils en seraient bien incapables).

 

 

Osons nous entraîner !

Si un événement nous semble quelque peu difficile à aborder et que nous disposons de temps, mettons-nous à l’épreuve seul devant notre glace, demandons à des amis de nous accompagner en toute bienveillance pour nous permettre de nous entraîner encore et encore, pour que le jour dit nous soyons au top de notre confiance afin d’atteindre notre objectif.

Ainsi, nous serons surpris de la facilité avec laquelle nous ferons apparaître aux yeux des autres notre aisance et cette confiance qui au début pourtant n’était pas si présente…

 

 

Petits exercices à faire pour améliorer la confiance :

Respirons pour chasser le stress !

Bien installé même si nous sommes debout, une main sur le ventre l’autre sur la poitrine, inspirons par le nez doucement pour gonfler au maximum le ventre , puis soufflons doucement comme si l’on avait une paille au bout des lèvres. Faire cet exercice pendant 3/5 minutes voire plus si possible.

 

JE t’aime toi !

Tous les matins devant notre glace, en nous regardant dans les yeux faisons-nous un compliment pour bien commencer la journée.

 

Le positif chasse le négatif !

Dès que l’on se  rend  compte que nous venons d’avoir une pensée ou une phrase négative, reformulons-la en positif, à force le positif prendra la place !

 

Un peu d’imagination que diable !

Après avoir fermé les yeux, imaginons-nous atteignant notre objectif, intéressons-nous à toutes les sensations agréables et tout ce que cela nous apporte. Ainsi, nous nous ouvrons vers des possibles pour l’action réelle.

 

 

Et si nous commencions déjà par nous dire que comme nous sommes des personnes formidables et rien que pour cela, nous avons le droit au meilleur ?

Cela permettra, j’en suis sûre de se dire comme le dit une fameuse publicité « parce que je le vaux bien » et donc d’amorcer déjà l’option « Confiance en Soi » avec toute légitimité et plaisir.

 

L’hypnose et les Thérapies Brèves  permettent de découvrir nos croyances et les changer pour développer le confiance en soi.

 

N’hésitez pas à me contacter pour en parler.

 

Et pour le plaisir un petit film qui légende ce texte…

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Attends toi au meilleur!

Attends toi au meilleur!

 

Voici quelques petites phrases pour positiver plus au quotidien…

Je vous propose de trouver la ou les phrases qui vous interpellent lorsque vous en ressentez le besoin et de l’éditer ensuite en format A4 afin que vous l’affichiez pour vous en faire un booster !

C’est à vous de jouer

 

 

    • Accorde-toi la chance de recommencer.
    • Même si les nuages semblent menaçants, un soleil brille juste au-dessus.
    • Que ferais-tu si tu n’étais pas toi ?
    • De fabuleuses rencontres t’attendent.
    • Fais ce que tu aimes le plus souvent possible.
    • Tu es maître de ta vie. Tes décisions façonnent ta route.
    • Espère et agit.
    • Ne laisse pas les obstacles de la vie te barrer la route. Si tu n’arrives pas à sauter par-dessus, contourne-les.
    • Partage ton sourire et apprécie ceux qu’on t’adresse.
    • Trace ton propre chemin. Suis ta joie. Ne te compare pas.
    • Que ferais-tu si tu étais sûr de ne pas échouer ?
    • Garde toujours un plan B sur toi.
    • Libère tes émotions.
    • C’est parfois en aidant les autres qu’on s’aide soi-même.
    • Tu respires. Tu es là. Tout est encore possible.
    • Tout passe. Tout change.
    • Tu peux changer d’avis et faire d’autres choix.
    • Les problèmes ont l’importance qu’on leur donne.
    • Tu as le droit d’échouer.
    • Répète le mot « sérénité » et laisse-le pénétrer tes pensées. Ferme les yeux, respire profondément. Détends chaque partie de ton corps.
    • Sois ton meilleur ami, ton premier supporter.
    • Essaie de finir quelque chose pour ressentir la satisfaction de l’accomplissement.
    • Une question à se poser régulièrement : qu’ai-je à comprendre ?
    • Concentre ton attention sur ce que tu aimes.
    • Tout est expérience.
    • Une pensée n’est pas un fait.
    • Tu as la capacité d’apprendre et d’inventer. Profites-en.
    • Toi seul sais comment s’écrit ton bonheur.
    • Danse pour disperser les pensées négatives.
    • L’amour calme le stress et embellit le monde.
    • Pense à tes succès. A tout ce que tu as déjà surmonté.
    • Débarrasse-toi de l’inutile. Fais simple.
    • Pardonne-toi.
    • Sois conscient de tout ton potentiel et de tes choix à chaque instant : rien que pour avancer, tu peux bondir, marcher, courir, …
    • Commence un projet. Travailles-y chaque jour à ton rythme.
    • Remercie ceux qui te font du bien.
    • Fais de ton mieux.
    • Demande ce dont tu as besoin.
    • Tu comptes ! Tes actions, tes mots, tes pensées changent le monde.
    • Observe mais ne juge pas pour ne pas avoir peur d’être jugé.
    • Excuse-toi et répare si tu le peux.
    • La chance survient quand on ne s’y attend pas.
    • Les efforts finissent par porter leurs fruits.
    • Crois en ta bonne étoile.
    • Chaque fois que tu croises une personne, offre-lui ta bienveillance.
    • Si tu ne peux pas changer ton problème, change ton attitude.
    • Attends-toi au meilleur.

 

Et pour le plaisir, voici une petite vidéo pour légender certaines phrases…

 

L’hypnose et les Thérapies Brèves  permettent de découvrir nos croyances et les changer pour développer la confiance en soi et le sentiment de mieux-être.

 

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Concentration, comment la faciliter ?

 

Concentration, comment la faciliter ?

 

Ne vous est-il jamais arrivé de constater que vos pensées s’évadent et vagabondent lorsque vous  tentez de vous concentrer sur une tâche ou en étudiant ? Vous êtes ailleurs, mais surtout pas à ce qui devrait être. Cependant, la concentration nous est nécessaire qu’il s’agisse de lecture, de l’étude d’une langue, d’examens à préparer ou dans des activités sportives, …

 

Le manque de concentration entraîne une perte de temps et d’efficacité. Lorsque l’on  apprend à se concentrer sur une tâche, nous  gagnons non seulement du temps mais aussi une qualité de travail et de vie au quotidien.  

 

Et si on commençait du bon pied ?

Planifions ce qu’il y a à faire

 Sans un plan de ce que nous avons à faire, nous risquons d’être rapidement dépassés. En premier lieu questionnons-nous  sur ce que nous voulons réellement obtenir. Ceci,  en planifiant les tâches et en nous fixant des objectifs de résultats dans le temps défini.

Par exemple, lorsque nous lisons un livre, nous pouvons décider de lire 20 pages en 30 minutes et  nous dire que nous nous souviendrons des éléments les plus importants. Dès ce moment-là, nous  diminuons la probabilité d’être tenté par autre chose.

Soyons reposé

La fatigue est l’ennemi de la concentration. Lorsque nous dormons suffisamment, il est facile de se concentrer sur une tâche. Si notre sommeil est défaillant, une sieste peut être une solution alternative. Une sieste de 10 minutes sera très bénéfique pour la concentration.

 

Faisons des petits exercices  physiques

 Lorsque nous devons nous concentrer sur une tâche pendant une longue période, notre cerveau a besoin de plus d’oxygène. Si vous n’avez pas le temps de pratiquer du sport régulièrement, quelques étirements de toutes les parties du corps en s’autorisant à bailler juste avant de travailler favorisera la concentration.

Vous pouvez par exemple vous concentrer sur votre respiration quelques instants, en inspirant plus longuement sur 5 secondes, puis en retenant sa respiration pendant 3 secondes et enfin en expirant longuement et profondément durant 5 secondes (en faisant tout le bruit souhaité). Ce petit exercice peut se faire 5 à 6 fois voire plus.

 

 Prenons soin de notre environnement

Nous pouvons aussi nous isoler, demander à notre famille ou à nos amis de se faire plus discrets pour favoriser notre  concentration. Si nous n’en avons pas besoin pour notre travail, éteignons l’ordinateur, ou s’il est nécessaire, ne conservons que les applications relatives à notre travail (afin d’éviter de se disperser). Concernant la musique, elle peut être en fond sonore, sans texte qui pourrait susciter une dispersion. L’espace aura été ventilé auparavant ou même pendant et le « fatras » adapté pour ne pas être sujet à dispersion.

Petits exercices sensoriels  pour faciliter la concentration

Imaginons

Commençons par nous intéresser à notre respiration puis concentrons-nous trois à quatre minutes sur un objet. Et pourquoi pas une pomme par exemple ? Laissons venir derrière nos paupières cette pomme,  observons-la soigneusement dans ses moindres détails. Puis, rapprochons la dans notre main jusqu’à la sentir tant par sa texture, son poids, ses couleurs que par son odeur et nous pourrons même en croquer des morceaux et savourer son jus et son goût.

Si l’objet s’échappe, ce n’est pas grave. Il suffit tranquillement de revenir sur cette pomme et ne voir, sentir, ressentir qu’elle. Cet exercice pratiqué régulièrement, à raison d’une ou deux fois par jour avec différents objets, permet d’améliorer considérablement sa concentration.

 

Visualisons

Les yeux fermés, imaginons un grand coffre en bois. Après en avoir ouvert  son lourd couvercle, commençons à mettre dedans toutes les tensions qui nous empêchent de nous concentrer (qu’elles soient physiques ou psychiques). Cela peut être des images, des dessins qui nous parlent, des mots ou des symboles représentant ces dialogues parasites. Au fur et à mesure, nous déposons  tout dans ce coffre, puis nous fermons  le couvercle soit avec un cadenas soit avec une clef.

A la suite de quoi, nous rangeons ce coffre en bois loin de soi dans l’espace (toujours via notre imaginaire). Et nous pouvons nous dire qu’après avoir effectué la tâche qui nous attend nous  ramènerons le coffre, et calmement, nous nous occuperons de tout ce qui s’y trouve. Après cet exercice de visualisation, l’esprit sera  plus clair et la concentration amplifiée.

Des techniques et outils en Hypnose et PNL permettent aussi d’accompagner les personnes pour renforcer la concentration. De nombreuses  personnes (étudiants, sportifs, entrepreneurs,…) font appels à ces pratiques pour se sentir plus à l’aise afin d’atteindre leurs objectifs et sont satisfaits des résultats obtenus.

 

 

Pour vous permettre de faciliter votre concentration, les Thérapies Brèves et un accompagnement sont là pour vous aider.

N’hésitez pas à me contacter pour en parler.

 


Et si on augmentait la Confiance en Soi ?

Et si on augmentait la Confiance en Soi ?

 

Manquer de confiance en soi cela nous arrive à tous ? Mais que faire pour avoir confiance en soi ? Que faire pour abandonner nos peurs irrationnelles et commencer à réaliser ce que nous désirons fortement ?

Et si nous constations  que tout le monde peut apprendre cela ?

Mais avant, il est nécessaire d’opérer un changement dans notre façon de penser dans certaines situations.

Suite à ces changements qu’allons-nous obtenir? Une totale décontraction et une absence de  stress pendant un discours face à un public…Une paix intérieure et de la confiance en agissant dans des situations nouvelles et inconnues…Une persévérance lorsque nous cheminerons vers la réalisation de nos objectifs…

 Et surtout, enfin, la Prise en main de notre vie.

 

La peur inutile

La confiance en soi, c’est une façon de penser. C’est s’autoriser à laisser de côté « La peur de l’inconnu ».

En réalité, la peur est un facteur qui sabote toutes nos opérations et nos démarches. Lorsque nos ancêtres combattaient dans les forêts, la peur était très importante car garante de la survie. De nos jours, cette peur est toujours présente et a envahi la vie de nombre de personnes ce qui les empêche de vivre pleinement.

 

Dans 99 % des cas, la peur est inutile et irrationnelle. Les temps ont changé, mais nous avons toujours peur dans des situations quotidiennes pourtant banales. Combien de fois avons-nous eu peur d’un examen ou d’une réunion avec une personne que nous allions rencontrer pour la première fois ? Qu’est-ce que cette peur nous a apporté ?

Nos comportements auraient été probablement très différents dans ces situations si nous avions été calmes et sûrs de nous. La confiance est utile non seulement dans la vie quotidienne mais aussi dans la réalisation de nos objectifs. Avons-nous envie de réaliser nos rêves ? Des grandes réalisations ont besoin d’actions audacieuses. Si nous voulons agir avec assurance, nous devons être sûrs de nous-mêmes.

Tout d’abord, examinons ce qu’est la confiance en soi face au monde qui nous entoure. La confiance en soi peut être une émotion comme par exemple, la joie, le rire. Mais nous les ressentons par intermittence, de façon spontanée et incontrôlable. Ça vaudrait la peine d’apprendre à les provoquer, non ? Et même si l’on a des doutes,  c’est tout à fait possible ! Mais le plus important pour l’instant est de trouver les moyens d’éliminer la peur et la crainte de l’inconnu.

 

Relation avec soi-même

La base de la confiance en soi est l’acceptation de soi-même. Prendre conscience de tous ses défauts et de les accepter est primordial. Nous prendrons ainsi conscience de nos valeurs. Nous sommes absolument uniques et nous méritons de nous sentir bien avec nous-mêmes.

Mieux qu’un grand discours faisons  l’exercice suivant :

Citer les choses qui sont source de fierté pour soi. Nous pouvons penser à tout, par exemple à un hobby qui semble particulièrement intéressant, à notre chambre à coucher, à nos amis, ou même au fait que nous jouons bien au tennis, au bridge, au foot…

Mieux encore, nous pouvons écrire toutes ces choses!  Dès lors, l’estime de soi augmentera.

Certaines convictions à notre propos

Dès que nous  connaîtrons nos valeurs, il sera temps de changer les croyances.

La plus grande maladie de l’homme est l’angoisse du jugement d’autrui. Nous nous sommes tous demandé un jour « Qu’est-ce que les autres vont penser de moi ? », et nous avons agi en fonction de ce que nous croyons que les autres pourraient penser…

Réfléchissons un instant, combien de fois avons-nous fait des choses contre notre propre volonté et que nous n’avions pas vraiment envie de faire ? (Et ceci uniquement parce que «quelqu’un d’autre pourrait penser quelque chose de négatif de nous ».)

Nombre de personnes donnent le pouvoir aux autres de contrôler ainsi leur vie, à cause de cette crainte de l’opinion d’autrui, et ceci quel qu’il soit : voisin, ami, famille, collègue, etc. Pourtant le choix nous appartient : laisser les autres guider notre vie ou décider de notre vie par nous-mêmes ! Qu’ils pensent ce qu’ils veulent, qu’est-ce que ça peut faire ?

En faisant un bilan de notre  vie dans quelques années, souhaitons-nous nous dire qu’elle est la résultantes des pensées et opinions des autres ? Qui le voudrait ?

Ne serait-il pas plus intéressant de se dire « Je veux décider moi-même de ma vie ! » ? Est-il normal de renoncer aux choses que nous désirons parce que, selon nous, quelqu’un pourrait penser quelque chose de mal de nous (et dans la plupart des cas, il ne pense rien de tel) ?

La première chose à faire serait de changer les croyances qui nous limitent, du genre : « les gens pensent que je suis bizarre », « tout le monde va rire de moi », « ils vont me regarder de travers ». Ces croyances sont la base du stress qui apparaît dès que nous commençons à agir. En se débarrassant de ces croyances nous allons faire un  grand pas en avant.

Paradoxalement, lorsque nous disons ce que nous pensons et agissons sans crainte de ce que l’autre va penser, nous gagnons le plus grand  respect de votre entourage. La confiance en soi se voit et inspire le respect.

C’est nous qui décidons de la qualité de notre vie !

 

 

Agrandissement de la zone de confort !

La zone de confort est un ensemble de comportements et de situations dans notre vie où  nous nous sentons en sécurité, peu importe ce que nous faisons.

Ce qui se trouve à l’extérieur de notre zone de confort provoque en nous du stress et de l’incertitude. Comme par exemple, aborder une personne inconnue lors d’une fête afin de faire  sa connaissance. Cette personne peut se trouver en dehors de notre zone de confort mais lui demander l’heure ne poserait aucun problème.

Le but est donc d’élargir sa zone de confort en y ajoutant constamment de nouveaux éléments de la vie. Lorsque quelque chose se trouve à l’intérieur de la zone, cela ne sera jamais source de stress ou d’anxiété.

Alors,  comment élargir cette zone de confort ? Tout simplement en faisant des choses qui sont au-delà de ses frontières. Lorsque nous aurons expérimenté sur nous-même que nos peurs et préoccupations n’ont en fait aucun sens, elles  ne resurgiront plus. C’est pour cela que je vous propose de faire quotidiennement des choses qui, auparavant, provoquaient en nous de la peur.

 

Quelques exemples :

  • Promenons-nous dans la rue et sourions aux inconnus.
  • Dans les transports publics (bus, train, métro, etc.) fredonnons une chanson clairement en remuant les lèvres.
  • Visitons des lieux de notre ville où nous n’avons jamais été.
  • Adressons-nous dans la rue aux gens que nous ne connaissons pas et demandons-leur la direction vers une rue, un lieu, leur opinion sur un sujet (qui ne porte pas à polémique).
  • Traversons le supermarché avec une main levée.
  • Allons dans un café pour faire la connaissance avec les autres.
  • Sautons dans une fontaine.
  • …..

 

Ces « missions » sont la meilleure façon d’augmenter la confiance en soi. Dès que nous commencerons à les initier, notre zone de confort se développera rapidement et durablement, et avec elle la confiance en nous. Et cela concerne tous les domaines de la vie. Voulons-nous être plus sûrs de nous en parlant en public ? Alors, parlons le plus souvent possible en public. Avec cette approche, nous nous  sentirons beaucoup mieux dans de nombreuses circonstances. Souvenons-nous  qu’en faisant tout cela, l’important est de se sentir bien afin de  développer la confiance en soi.

 

Et si nous écrivions sur une feuille les choses que nous ferons dans un avenir proche, la semaine prochaine par exemple ?

Nous pouvons choisir parmi les exemples ci-dessus ou en inventer. Mission du lundi, du mardi…

On peut  commencer par des choses qui nous semblent  insignifiantes comme simplement sourire aux gens dans la rue, puis progressivement passer par des étapes de plus en plus difficiles pour nous. Au début, cela provoquera du stress mais très rapidement on se rendra compte que l’on prend  de plus en plus  d’assurance dans ce que l’on  fait. Il m’est arrivé lors d’une formation d’aller en ville avec d’autres participants et de faire des choses qui pourraient être considérées comme « étranges ».  Au bout d’une heure à s’affecter des « missions ludiques », la plupart d’entre nous avait franchi des barrières et semblait bien plus à l’aise avec les autres donc avec eux-mêmes…

La confiance en soi en tant qu’émotion

Une autre façon d’avoir confiance en soi est de la déclencher par l’émotion. Dans certaines situations nous pouvons provoquer de l’assurance en soi voire de l’accentuer.

Voici quelques petits exercices si le cœur vous en dit :

  • Imaginons que l’on soit assis sur une chaise et qu’en face de nous soit assise une « version de soi » qui a plus de confiance en elle. Maintenant, imaginons que nous devenions cette personne un petit moment. Faisons comme si nous « entrions » dans son corps. Regardons le monde de son point de vue. Quelles sont ses émotions ? Que vit-elle ? Que ressent-elle ? Imprégnons-nous de ses émotions. Maintenant, reprenons notre place à nouveau et regardons en face de nous une nouvelle « version de soi », encore plus sûre d’elle, confiante dans tout ce qu’elle fait, très cool et très à l’aise. Devenons comme elle. En répétant ces étapes plusieurs fois, on ressent une plus grande assurance et confiance en nous.

 

  • Pensons à une personne qui est très sûre d’elle. Cela peut être le personnage d’un film ou d’une bande dessinée. Ensuite, envisageons une situation dans laquelle cette personne a montré pleinement son caractère et sa confiance en elle-même. Puis « intégrons » son corps en restant elle durant quelques instants. Regardons avec ses yeux, comportons-nous comme elle. « Quittons » son corps et imaginons nous dans une situation de notre vie, en nous comportant comme cette personne.

 

  • L’entrainement face à un miroir. Debout face à un miroir pendant une minute, imaginons  des films dont nous tenons le rôle principal. Regardons notre avenir et les situations dans lesquelles nous emporterons  le succès. Les images doivent être vives et pleines de  couleurs. La minute suivante, fermons les yeux et pensons à quelqu’un qui nous aime beaucoup. Puis, ouvrons les yeux et regardons-nous à travers les yeux de cette personne. Ressentons ce qu’elle ressent. Durant la dernière minute faisons-nous des compliments. On peut se parler à voix haute ou  intérieurement, raconter des choses agréables sur nous. C’est un exercice à effectuer quotidiennement et il ne prend que trois minutes.

 

  • La confiance et la physiologie. Lorsque l’on se promène en ville, en forêt ou dans un parc, tenons-nous bien droit, poitrine vers l’avant. Gardons la tête haute en regardant devant vous. Marchons plus lentement que d’habitude. Soyons complètement à l’aise, sans stress, posons nos pas avec tranquillité et certitude. S’exercer dans cette posture jusqu’à ce qu’elle devienne une habitude. Marcher de cette façon va faire apparaître en nous le sentiment de confiance en soi, et les  autres nous verront comme une personne calme, décidée, qui se maîtrise…

 

Vivre ainsi, se sentir bien n’est-ce pas plus agréable ?

Le changement de cette approche, et des croyances, nous permettra d’avoir confiance en nous, de manière durable et profonde. La confiance qui agit sur le plan émotionnel est moins durable. Elle disparaît après un certain temps, mais elle est très forte et efficace à court terme.

Maintenant, c’est à nous de jouer !

 

 

 

 

L’hypnose et les Thérapies Brèves  permettent de découvrir nos croyances et les changer pour développer le confiance en soi.

Car le changement de croyances est la clé pour obtenir et conserver une véritable sérénité dans tout ce que nous faisons

 

N’hésitez pas à me contacter pour en parler.

 

Et pour le plaisir un petit film qui légende ce texte…

 

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Et si nous devenions Optimistes?

Et si nous devenions Optimistes ?

Être optimiste c’est se permettre d’avoir des ressources et d’en disposer afin de faire que la vie soit plus simple, même dans des moments qui de prime abord ne sont pas trop roses.

 

 

 

Pour commencer, essayons de nous rappeler une situation, une période de notre vie où justement ce n’était pas rose mais  dont nous nous sommes sortis « grandis »  au bout du compte.

 

Essayons de nous souvenir des éléments et des détails que nous avons mis en œuvre et qui ont fait que nous avons dépassé la situation. Cela peut être considéré comme une leçon de vie en quelque sorte…

 

Pour nous aider à identifier la situation et les détails, voici quelques questions que nous pouvons nous poser

  • quand a eu lieu cette situation ?
  • qu’est-ce qui s’est passé ?
  • quelle a été ma réaction ?
  • qu’est-ce que j’ai fait ?
  • qu’est-ce que je me suis dit ?
  • quelles ont été mes qualités qui ont fait que je n’ai pas baissé les bras ou abandonné ?
  • quelles ont été les personnes qui ont été là pour me permettre éventuellement de sortir de cette situation ? Ces personnes m’ont elles apportés, de façon consciente ou pas, de l’aide ou du soutien ?
  • quelles sont les « choses » positives que je retire de cette situation ?

 

 

En ayant répertorié et pris conscience de tout ce que nous avons déjà été capable de mettre en œuvre, demandons-nous quelles sont les capacités, les ressources, les éléments qui pourront nous permettre – si cela se présente –  de faire plus facilement face ?

 

 

Peut- être quune  situation désagréable voire difficile se présente à nous et que nous le savons. Posons-nous alors les questions suivantes :

  • comment vais-je pouvoir réagir ?
  • comment vais-je m’y prendre pour que cela finisse au mieux ?
  • quelles sont mes qualités qui vont me permettre de voir le plus simplement et le plus clairement les choses ?
  • quels sont les éléments extérieurs à moi dont j’ai besoin pour m’accompagner au mieux ?

 

 

 

L’hypnose et les Thérapies Brèves permettent de développer nos capacités vers le mieux-être, l’optimiste, pour voir la vie plus plaisante.

 

                    N’hésitez pas à me contacter pour en parler.

 

Et pour le plaisir un petit film qui légende ce texte

 

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Petites Perles de Plaisir et Gratitude

gratitude

Et si nous cueillions nos petites perles de plaisir

et exprimions notre gratitude ?

 

Exprimer sa gratitude, c’est apprécier ce qui nous entoure, c’est aussi faire que l’on se sente plus serein, plus épanoui, plus heureux chaque jour.

Nous pouvons apprendre à être heureux. Cependant, la plupart des gens pensent que leur bonheur dépend d’un certain nombre de conditions : « quand je deviendrai ….., je serai heureux », « quand j’aurai …, je serai heureux »…

Penser ainsi, fait que l’on vit dans l’espoir qu’un jour nous serons heureux. Dès lors, il est impossible de ressentir le bonheur  au présent, ces petites perles de plaisir de notre quotidien.

Si vous ne parvenez  pas à être heureux dans l’instant présent, il n’est pas certain que quelque chose d’extérieur vous offrira du bonheur. Vous aurez l’impression de vous sentir heureux, oui, mais ce sentiment risque d’être superficiel et de très courte durée.

 

 

Vous avez déjà certainement entendu des déclarations telles que: « quand j’aurai une nouvelle voiture, je serai heureux », « quand je trouverai ma moitié, je serai heureux », «quand je gagnerai beaucoup d’argent, je serai heureux », « quand… ».

La majorité des personnes détermine leur bonheur par des facteurs extérieurs à eux. Ainsi, même lorsque la condition est remplie, il s’avère que le résultat n’apporte pas le bonheur espéré ou attendu car alors nous trouvons d’autres conditions pour être heureux. Certains mettent même tellement de conditions que jamais ils ne se sentiront heureux ! Si vous ne parvenez pas à être heureux dans l’« ici et maintenant », alors aucun objet matériel ni personne ne vous offrira ce bonheur.

 

Vous pouvez apprendre à sentir et ressentir l’état de bonheur, indépendamment de ce que vous  possédez ou ne possédez pas encore.

Je suis profondément convaincue que chacun de nous possède suffisamment de ressources pour se sentir heureux, peu importe nos désirs et ce que nous voulons voir se réaliser dans le futur.

 

Sachez que dès le moment où vous découvrez le bonheur même infime en vous, il vous  sera beaucoup plus facile d’atteindre tout ce que vous désirez.
La plupart d’entre nous marche suivant le principe : d’abord le succès, ensuite le bonheur. En fait, cela marche dans le sens inverse ! C’est donc une autre forme de pensée qu’il faut mettre en place.

 

Le sentiment de gratitude est l’une des choses les plus importantes dans l’accès du bonheur en soi.

 

Pour cela, je vous propose de prendre tous les jours 5 minutes, juste avant de vous  coucher, pour faire un exercice très simple : une liste de gratitude, moi j’appelle cela une liste des petites perles de plaisir de la journée (à vous de choisir le terme ou l’expression qui vous plait). Pour cela, il vous  suffit de vous poser dans un endroit calme et confortable, et pendant 5 minutes environ, vous énoncez  mentalement ou écrivez les choses, les situations de la journée pour lesquelles vous êtes reconnaissant et éprouvez de la gratitude, ce qui vous a fait vous sentir bien même si cela fut fugace.

Quels bénéfices apportent une liste  des petites perles de plaisir ?

  1. Nous nous concentrons sur les aspects positifs de la vie. Petit à petit, nous commençons à nous réjouir et à savourer des choses qui n’ont jamais provoqué la moindre joie en nous (les petites perles de plaisir). Nous cessons de chercher tout ce qui ne va pas ou ce qui n’a pas fonctionné. Nous commençons à percevoir et à apprécier plus facilement tout ce qui est positif. Cela aura un impact énorme sur notre état de bien-être pendant la journée, et nos nuits seront plus paisibles et « ressourçantes ». De plus, cela change la façon de percevoir certains événements de la vie, ce qui est le début de profonds changements… (le verre à moitié vide ou à moitié plein).

 

  1. Les choses insignifiantes cessent de nous inquiéter. Nous aurons à l’esprit les choses essentielles. Par exemple : lorsque nous nous disputerons avec la personne qui nous est chère, nous serons reconnaissants qu’elle existe et soit à nos côtés. Dès lors, nous sommes également moins sujet au stress, par le manque de motivation ou d’énergie,  nous sommes reconnaissants d’être en bonne santé. De la même manière nous nous soucions moins de la maladie  lorsque nous sommes reconnaissants d’être en vie et que nous nous disons que nous pouvons encore avancer (que nous sommes en capacité de composer pour aller mieux avec ce que l’on a)…

 

  1. Se remercier soi-même a une grande importance. De la même manière, il est important de dire MERCI à nos proches, aux gens qui nous entourent. Dans ce cas, chacun va se sentir beaucoup mieux : les autres et nous-mêmes. Les gens aiment être appréciés et reconnus. Quand nous apprécions consciemment l’autre, nous nous sentons plus heureux. La bienveillance pour soi et les autres adoucit la vie au quotidien.

 

 

Être reconnaissant pour qui, pour quoi?

Pour tout. Pour le  rayon soleil qui a brillé aujourd’hui, d’être en bonne santé, d’avoir eu une conversation sympathique à l’arrêt de bus avec un(e) inconnu(e), d’avoir un(e) véritable ami(e), d’avoir des rêves, d’avoir appris ou découvert quelque chose de nouveau, pour le sourire d’une personne, pour un compliment que quelqu’un nous a fait, pour avoir vu un bon film,…..

Pour toutes les occasions de prendre conscience que nous vivons une vie remplie de belles rencontres, d’étonnantes découvertes et de riches expériences avec ce qui nous entoure.

 

 

Comment faire sa liste quotidienne des petites perles de plaisir?

 

Tout d’abord, il faut qu’elle soit réellement quotidienne. Il s’agit de ne prendre seulement que 5 minutes de son temps, mais cela nous apportera énormément ! Les effets bénéfiques se ressentent très rapidement, après quelques jours à peine. Cela vaut vraiment la peine d’essayer.

– Remerciez pour tout ce qui vous vient à l’esprit. Même les choses qui nous semblent insignifiantes et sans importance( pour vous). Vous verrez qu’avec le temps, vous trouverez de plus en plus d’éléments à remercier, simplement. Cela confirmera que vous percevez et ressentez les beaux côtés de la vie.

– Ressentez réellement ce qui vous a fait vous sentir bien même une seconde dans la journée. Pensez tranquillement : «MERCI » et ressentez. Il ne s’agit pas de citer ou énumérer tout ce qui vous passe par la tête.  Juste redécouvrir à nouveau ce sentiment de bien-être que vous avez eu au moment où vous l’avez vécu

– Vous pouvez même remercier pour les choses ou événements « négatifs ». En cherchant bien, il y une leçon positive pour soi-même, mais au début ce n’est pas aisé de ressentir cela ou de trouver le positif. Et si cela vous perturbe, laissez cela de côté, avec le temps vous y viendrez ou pas…

 

Il est clair que pour certains, au début, l’exercice vous semble étrange. Toutefois, il n’y a rien à perdre d’essayer car cela  ne prend que 5 minutes par jour au maximum !

Cet exercice nous apprend beaucoup, permet de changer notre regard sur les choses et nous apprend à éprouver des émotions précieuses et riches.

 

Pour vous permettre de découvrir vos petites perles de plaisir et d’exprimer votre gratitude,

les Thérapies Brèves et un accompagnement sont là pour vous aider.

N’hésitez pas à me contacter pour en parler.

 

 

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Le pouvoir des mots

 

mots-1   Le pouvoir des Mots

 

Les mots prononcés sont parfois interprétés différemment par notre conscient et inconscient. Ainsi, la signification peut avoir un double sens provocant une réaction contraire à l’objectif visé.

 

 

« Je dois »

« Je dois », réfléchissez à qui vous oblige, ou qui ou quoi provoque cette obligation. Le terme « je dois » nous diminue, minimise, il porte avec lui une énergie exceptionnellement lourde… « Je dois » peut s’entendre comme si l’on parlait du « doigt ». Par exemple,  comme si  nous étions  montrés du  « doigt », geste accusateur et peu valorisant.

Cependant, nous évoluons dans une société qui nous amène parfois à certaines obligations. Heureusement nous pouvons consciemment transformer « je dois » par « je veux » ou « je choisis » et l’on peut alors se débarrasser du fardeau de la contrainte. La tâche qui nous a été confiée, ou celle que nous nous attribuons  nous-même aura un ressenti différent, plus bienveillant et responsable. Il ne s’agit pas de censurer, de rayer des mots relevant de la culture et de sa langue.

Il s’agit simplement d’avoir une pleine conscience de ce que nous disons, de comment nous le disons, et de la façon dont certains mots peuvent nous toucher tant sur le moral, notre état d’esprit, que sur notre corps…

 

Parfois, je suis réellement obligée de faire des choses. Il suffit que je le remplace donc mentalement par « je veux le faire » pour que, j’évite de me tracasser. Ainsi,   je vais réaliser l’action, la tâche,  plus vite et même plus facilement.

 

Pour certaines personnes, remplacer « Je dois » par « Je veux » peut être trop fort et peut provoquer une sorte de résistance. Alors, que diriez-vous de « J’ai à faire » ?

« J’ai à faire » (affaire) est plus neutre. Bien sûr, tout dépend de la situation que l’on vit. Il sera probablement plus facile de dire « Je veux acheter des fleurs ».

D’autre part,  il n’y a aucune raison de ne pas exprimer sincèrement  ce que nous voulons. Il s’agit ici de prendre conscience du poids de certains mots que nous prononçons au quotidien. Par exemple, « je souhaite » ou « je désire » sont des mots appelés « mots forts » et il est important de s’y référer surtout lorsque nous sommes dans la réalisation de nos objectifs.

 

 

« Il faut »…

« Il faut »… combien de fois avons-nous entendu et prononcé ce début de phrase. « Faut » peut s’entendre aussi comme faux, ou la faux (de faucher). Ainsi s’« il faut » faire quelque chose et que je ne le fais pas, c’est comme si je me coupais la possibilité d’agir, un peu comme si on se coupait l’herbe sous le pied avant d’avoir commencé la moindre chose. De plus « faut » est associé inconsciemment à la « faute » donc à la culpabilité, ce qui ne facilite pas pour se mettre en marche pour commencer quelque chose, non ?

Ainsi, si nous nous entendons dire : « ce n’est pas de ta faute », nous avons souvent la conviction  que cette faute doit être attribuée au monde extérieur avec une idée de punition.

Avec le mot « faute » même une chose insignifiante nous conduit à  nous sentir coupable.

Cette croyance est la résultante de notre culture judéo-chrétienne, le « mea culpa public » attendu. Dans notre culture, nous portons le péché originel  quoi que nous fassions. Nous sommes nés coupables. Puis, nous cultivons et soignons encore ce sentiment de culpabilité.

 

« Essayer »…

Pour « essayer »,  tout dépend de la situation. Si quelqu’un qui n’a jamais fait de  pâtisserie dit « Je vais essayer de faire un gâteau», cela signifie qu’il relève le défi et accepte que le résultat puisse ne pas être réussi. Dans tous les cas, il aura fait un gâteau quand même.

Mais si quelqu’un vient en séance de thérapie et dit qu’il va essayer de changer des choses dans sa vie, il existe une très forte probabilité que cela ne se réalise pas.

« Je vais le réussir » dégage plus d’énergie positive, « Je vais essayer » est très prudent, un peu comme si on marchait sur la pointe des pieds. Il y manque de la détermination, il y a absence de mouvement. « Je vais essayer d’étudier », « Je vais essayer de me lever », « Je vais essayer d’être à l’heure »  En disant de telles phrases, nous nous donnons automatiquement la permission de ne pas réussir…

 Souvent, nous parlons de cette façon afin de ne pas nous faire de fausses promesses, de ne pas décevoir les autres. Cela nous laisse une marge de sécurité. Nous manquons d’enthousiasme  à faire quelque chose en quoi, dès le début, nous ne croyons pas complètement.

C’est pire lorsque nous sommes contraints de nous faire ce genre de promesses à nous-mêmes. Car il y a toujours ce « mais » qui arrive après « j’essaie ». Donc « j’essaie, mais … ». Le « mais » signifie habituellement un pas en arrière. Nous nous concentrons uniquement sur les obstacles relevés après ce « mais ».

S’il y a un mot que nous adorons mettre à toutes les sauces, c’est le mot « problème ». Lors des séances, je vois souvent les gens évoquer des problèmes ( ce qui pour d’autres  sont des situations). Ces  « problèmes »  sont là pour attirer l’attention du thérapeute sur des points particuliers  et demandent un accompagnement  adapté  de sa part pour transformer les  problèmes en situations. Car si nous envisageons de nommer ce « problème » par cette  « situation », nous ôtons inconsciemment les barrières limitantes .

 

 

« Mais »…

Il faut savoir que le cerveau est régi par certains automatismes du langage, ainsi, lorsque l’on émet ou entend une phrase avec « mais », seule la partie après ce « mais » est entendu au final.

Ainsi, lorsque vous entendez « la soirée fut plaisante, mais les plats étaient froids » est très différent de « les plats étaient froids, mais la soirée fut plaisante ». Dans  la première phrase, on ne retient que c’était loupé à cause des plats froids , donc négativement; dans l’autre cas, c’est le côté plaisant de la soirée qui ressort.

 

« Ne pas »…

Comme je le disais tout de suite, il faut savoir que le cerveau est régi par des automatismes ainsi le cerveau occulte la négativité.

Lorsque vous dites « vous n’allez pas avoir froid «  le cerveau va traduire par «  vous allez avoir froid ».  J’accompagne souvent les personnes afin qu’elles pensent à émettre de façon positives  leurs phrases face à des situations anxiogènes.

Dès lors, si l’on dit « tout se passera au mieux » la personne qui l’entendra sera plus détendue que si on lui avait dit « vous n’aurez pas mal ».

 

« Avoir le choix »…

Lorsque nous faisons des choix importants dans la vie, nous disons souvent que nous avons sacrifié quelque chose. En pensant de cette façon nous nous attribuons automatiquement le titre de martyr. On dirait que les gens aiment souffrir. Or, la vie est composée de multiples choix. Il suffit de choisir tout simplement ce qui est le mieux pour soi dans l’instant présent.

C’est la même chose avec le mot « mériter » qui est, pour moi, un mot asservissant. Qui plus est, il est très ancré dans notre culture. La croyance que tu dois «mériter» pour que l’on t’aime est très courante. Nous devons mériter l’amour ! Qui n’a jamais dit ou entendu: «sois gentil, sinon tu n’auras pas de bisous »?

C’est de cette façon que naît le « programme » qui nous pousse à croire qu’il  faut « mériter » tout ce qui est « bon ou bien » pour soi et donc que  rien n’est gratuit.

 

Et si nous considérions les choses autrement comme,  ce qui est bon pour nous,  est tout simplement donné. Nous avons le droit de recevoir sans être sur une balance dont l’équilibre doit toujours être parfait, d’ailleurs au diable la balance !…notre équilibre ne dépend pas de cela.

 

Car à force de considérer que nous devons « mériter », nous nous retrouvons à refuser l’amour, le droit au bien-être, le lâcher-prise, etc… car nous ne l’avons pas mérité…

 

Un proverbe chinois dit :

« Fais attention à ce que tu souhaites, car cela risque de t’arriver ».

 Intéressant n’est-ce pas ?

 

Je vous invite donc désormais à vous écouter parler, à vous écouter penser…

Je vous souhaite de belles énergies porteuses de mots !

 

 

Pour vous permettre de faire que les mots expriment vraiment ce que vous voulez dire, les Thérapies Brèves et un accompagnement sont là pour vous aider.

N’hésitez pas à me contacter pour en parler.

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La METHODE S.O.I.

 

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La METHODE S.O.I. 

Solution Orientée vers l’Indépendance

 

Cette méthode a pour objectif de proposer à chacun d’entre nous de travailler de façon ludique et originale sur les liens dont nous ne souhaitons plus dépendre que ce soit vis-à-vis d’une personne, d’un événement ou d’une situation.

Je vous présente cette méthode que j’ai développée et évaluée durant plusieurs mois .

 

Les Outils

Afin de pratiquer la Méthode S.O.I., nous allons utiliser une palette d’outils comme les Thérapies Brèves, la Relaxation,… L’activité manuelle intervient aussi avec l’usage de la pâte à modeler, le dessin, les 3 dimensions, des fils, des ciseaux,…

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L’Objectif

La mise en pratique de la Méthode S.O.I. va faire appel à notre enfant intérieur pour interagir sur ce dont nous souhaitons nous détacher, de façon simple et respectueuse de nous-mêmes.

Nous allons établir un dialogue intérieur via les Thérapies Brèves et la Relaxation, ce qui va nous permettre de restituer, notamment à l’aide de nos mains, la situation présente dont nous souhaitons ne plus dépendre.Nous faisons appel à nos cinq sens (ouïe, odorat, vue, toucher, goût).

Cette méthode nous met en contact avec  nos sens  mais aussi avec les éventuelles blessures de notre enfant intérieur aux travers des parties du corps liées à l’attachement. En fait, nous devenons « l’explorateur de SOI-même »Ceci afin de découvrir, de ressentir puis de trouver des moyens pour soulager, éloigner, détacher, rompre les liens de la dépendance.

Les mains, les yeux, la respiration sont des éléments clefs tout comme les matériaux que nous utilisons (pâte à modeler, crayons, fils, ciseaux,…) afin de provoquer, à notre rythme, le détachement qui se concrétisera par des gestes symboliques forts.

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Mon Rôle

Afin de mettre en œuvre la Méthode S.O.I., je vous accompagne en toute bienveillance. Après avoir commencé par une mise en  Relaxation, je vous aide  en utilisant les Thérapies Brèves pour faire que vous dialoguiez avec votre « enfant ou moi intérieur ». Par cette exploration, chacun va découvrir la manière qui lui sera propre pour  se libérer de certains liens et de certaines attaches.

Je vous accompagne tout au long de la séance et je suis à votre écoute face aux éléments qui se présentent à vous et qui vous interpellent. Mon objectif est de vous rendre  plus sensible à vous-même pour que vous cheminiez en toute sécurité vers ce détachement.

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Comment ça se déroule ?

La Méthode S.O.I. s’appuie sur un protocole en plusieurs étapes et se déroule soit en thérapie individuelle, soit en atelier de groupe. La durée est de 2 heures afin que chacun prenne tout le temps nécessaire pour interagir de façon bienveillante et bienfaisante sur et pour SOI.

 

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En conclusion

En pratiquant la Méthode S.O.I., nous allons retrouver une indépendance en étant acteur de notre changement. Et comme chacun de nous ressent les choses à sa façon et en fonction de l’importance des dépendances traitées, je suis présente pour vous accompagner dans cette « exploration ». Cette Méthode va vous permettre de poser le sujet sur lequel vous souhaitez travailler puis ressentir plus profondément les changements qui s’opèrent au fil de la séance.

Vous allez prendre progressivement conscience d’une indépendance retrouvée, d’une liberté d’agir et d’action, sans entraves ni asservissements vis-à-vis de quelqu’un ou quelque chose, et ceci de façon respectueuse et bienveillante pour vous tout en éveillant votre âme d’enfant.

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Pour vous permettre une plus grande indépendance, cette Méthode et les Thérapies Brèves  sont là pour vous aider.

N’hésitez pas à me contacter pour en parler.

 

Quelques exemples  d’ateliers

 

Phase 1

Etape 1

 

phase-2-no-3

Etape 2

 

Etape 3

 

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Etape 4

 

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Etape 5      

 

phase-5-no-3

Etape 5

 

 

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Séances et Tarif

Les séances en Thérapies Brèves

Avant notre première séance, il y aura toujours un échange téléphonique préalable afin que je vous présente  la façon dont  j’accompagne chaque personne en séance et que vous puissiez me parler de vos attentes et besoins . C’est uniquement lors cet échange que je pourrai vous proposer un rendez-vous. 

Au cas où il s’agit d’un enfant, je demanderai au parent de m’entretenir un peu avec l’enfant afin de créer un premier lien (même si votre enfant reste muet durant l’échange téléphonique, le contact téléphonique pourra se faire à un autre moment pour vous permettre d’en parler avant avec lui).

Pour toute demande par SMS ou mél, je vous inviterai à me contacter par téléphone pour échanger sur vos besoins et attentes.

Aucun premier rendez-vous ne vous sera proposé sans ce contact téléphonique.

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Lors de la première séance, nous apprenons à nous connaître.

Nous évoquons le contexte et les difficultés qui vous amènent à consulter.

A partir du sujet qui vous préoccupe, nous précisons ensemble vos attentes, vos besoins, votre but, vos objectifs…

Cette  étape à base d’échanges par la parole dure environ 2 heures  lors de notre première rencontre.

Nous prenons le temps de faire connaissance et d’établir un rapport confortable et de confiance nécessaire au travail thérapeutique.

Une fois les objectifs clarifiés, la thérapie débute avec une première expérience des techniques de Thérapies Brèves qui vous correspondent (Hypnose, PNL, Sophro-Analyse, Psycho-Généalogie, Sexothérapie, Relaxation, RITMO®).

Il est fréquent que je mette en oeuvre plusieurs techniques afin d’accéder à une approche thérapeutique plus appropriée.

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Chaque personne étant unique et chaque situation singulière, le temps nécessaire pour une thérapie complète est variable.

Les séances durent environ 90 minutes et sont généralement espacées de 3 à 4 semaines pour favoriser le « cheminement thérapeutique » mais là encore tout est modulable.

Je suis également disponible par mél et par téléphone durant toute la thérapie.

Le tarif de mes séances est de 73€ (Chèque ou Espèces) sauf  pour les thérapies d’arrêt du tabac et d’aquaphobie.
Pour l’Arrêt du Tabac par l’Hypnose (méthode ATH, 2 séances  dont la première dure environ 4h), le tarif est de 240€ pour les 2 séances (Chèque ou Espèces) payable lors de la première séance.
Pour l’aquaphobie ( 1 séance en cabinet, 2 séances en piscine), le tarif est de 270€ pour les 3 séances (Chèque ou Espèces) payable lors de la première séance. Les frais d’accès à la piscine sont à prévoir.

Les séances ne sont pas prises en charge par la Sécurité Sociale mais le complément peut venir de votre mutuelle! Les mutuelles proposent des contrats avec des remboursements de soin de médecine alternative. Renseignez-vous !

« Votre propre décision de réussir est plus importante que n’importe quoi d’autre. »

Abraham Lincoln

Une séance de Thérapie Brève  ne remplace, ni ne se substitue à une visite médicale; le médecin généraliste ou spécialiste peut lui seul effectuer un diagnostic et vous faire des prescriptions.
Tout traitement médical doit être maintenu et suivi par un professionnel de santé. Lui seul peut décider de son arrêt.
Les séances prodiguées au sein du cabinet n’ont pas pour vocation de soigner les maladies, mais à apporter confort, bien-être, mieux-être et relaxation.

L’hypnose et les Thérapies Brèves  permettent de développer la confiance en soi et en les autres.

C’est une clé afin d’ obtenir et conserver une véritable sérénité face à ce qui se présente à nous et permettre ainsi de devenir un accompagnateur bienveillant et d’avancer  au mieux pour chacun.

Osez  me contacter pour en parler.


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La PNL ou Programmation Neuro-Linguistique

PNL

Quelques définitions

La PNL  permet à la personne  en pleine conscience et  de façon efficace d’accéder, de  développer les ressources dont elle a besoin pour se sentir mieux. Elle  améliore ses capacités pour atteindre les objectifs souhaités.

 

Selon Richard Bandler (l’initiateur avec John Grinder de la PNL) : » la PNL donne le mode d’emploi du cerveau« .
C’est à la fois « l’art de communiquer« , via un ensemble de techniques précises afin d’aider au changement et, pourquoi pas, à une sorte de philosophie de la vie.

 

La PNL cherche à modéliser des savoir-faire particuliers, des expertises ou  » l’excellence humaine », en recherchant le plus précisément comment faire (et non pourquoi on le fait).    Afin d’obtenir ces résultats, la PNL a développé des moyens très élaborés pour étudier tous les modes de fonctionnement de la personne.
Elle entraîne souvent des changements ou évolutions spectaculaires et tellement rapides qu’on les a parfois qualifiés de « magiques ».

 

La PNL à qui s’adresse-t-elle ?

 

A tous ceux qui veulent se libérer :

  • De leurs émotions limitantes (dévalorisation, manque d’amour de soi, colère, culpabilité, sentiment d’illégitimité, peurs, insatisfaction quotidienne,…)

  • De leurs dépendances (alcool, tabac, jeu,…)

  • De leurs comportements répétitifs

  • De leurs comportements destructeurs (boulimie, anorexie, addictions, …)

  • De leurs souffrances (séparation, deuil,…)

 

A tous ceux qui souhaitent « Renaître » à eux-mêmes :

  • Retrouver son libre-arbitre

  • Respecter son propre désir, écouter ses besoins

  • Installer de nouvelles compréhensions

  • Devenir plus responsable de ses actes et de ses pensées

  • Devenir les acteurs de sa vie

 

A tous ceux qui veulent atteindre :

  • Une plus grande liberté

  • Une meilleure sérénité

  • Une gestion du calme mental lorsque nécessaire

  • L’acceptation

  • Un sens à leur existence

 

Domaines d’application :

  • Pédagogie

  • Développement personnel

  • Santé

  • Coaching d’entreprise

  • Coaching sportif

  • Management, Commercial

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Pourquoi ce drôle de nom ?

Programmation: A la suite de notre éducation et de nos expériences vécues, nous sommes « programmés » pour reproduire ce que nous nommons comportements, automatismes, habitudes, …

Neuro: ces apprentissages seraient « engrammés » dans les neurones de notre cerveau.

Linguistique: Parce qu’ils se manifestent au travers de notre langage verbal et/ou non verbal.

(R.Bandler disait également, avec humour:  » un nom aussi complexe donnera surement aux gens l’envie de venir nous voir afin d’en savoir plus… »).

 

L’hypnose et les Thérapies Brèves  permettent de développer la confiance en soi et en les autres.

C’est une clé afin d’ obtenir et conserver une véritable sérénité face à ce qui se présente à nous et permettre ainsi de devenir un accompagnateur bienveillant et d’avancer  au mieux pour chacun.

N’hésitez pas à me contacter pour en parler.