Pascale Alice AUBIN ….. Hypnose , PNL…… à Rennes ou à Monthault……… Psychogénéalogie, Sexothérapie, RITMO®, tabac

Thérapies brèves, Développement personnel, Phobies, Arrêt Tabac, Stress, Anxiété, Angoisses, Burn out, Sexualité, Sommeil, Addictions. ………. Enfant, Adolescent, Adulte, Famille, Couple …..


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Le stress de la rentrée scolaire

Le stress de la rentrée chez les enfants et les parents

 

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Que ce soit l’entrée à la maternelle, le passage à l’école secondaire, un changement d’école ou un retour en classe, la rentrée scolaire peut amener du stress et cela touche aussi bien les petits que les grands.

 

 

 Bien souvent , la rentrée est en quelque sorte un deuil…

        Le deuil des vacances, le deuil du sentiment de liberté !

 

Les nouveaux rythmes de vie et  les environnements inconnus,  avouez qu’il y a de quoi le jour de la rentrée avoir la boule au ventre , les larmes au bord des yeux, le cœur qui se serre et bien d’autres symptômes et cela pour les petits comme pour les grands !

 

Alors, comment vivre cette rentrée de manière plus détendue et faire que cette année parte sur de bonnes bases pour tout le monde?

 

         Autorisons-nous, nous parents, à considérer certains mots et principes pour  accompagner nos enfants afin de franchir le cap de ce stress :

MOTIVATION – ECOUTE – ROUTINE – RECONFORT – PARTAGE – AUTONOMIE – DEVELOPPEMENT DE LA CONFIANCE EN SOI – ENCOURAGEMENT – ACCOMPAGNEMENT – ENCADREMENT – RESPONSABILISATION – LUDISME – REPOS – VALORISATION – CREATION D’ UN SENTIMENT DE SECURITE –

 

La rentrée chez les Adultes

 

Certaines rentrées sont plus stressantes pour les parents, comme l’entrée du petit dernier en maternelle (rupture d’une autre époque), le CP, l’entrée au Collège ou Lycée voire en post-bac , lorsqu’il y a un départ avec une nouvelle vie ou une nouvelle ville.

L’inconnu peut aussi être de la partie pour les grands, mais surtout, nous savons parfois être les rois du Thriller avec option catastrophes maximales du quotidien pour nos chères têtes blondes ! Et n’oublions pas que nos enfants sont des éponges et qu’ils « absorbent » notre stress !

 

Alors que faire pour rester zen ?

 

  • En premier lieu , faire confiance à son enfant en listant toutes les situations précédentes dans lesquelles il s’est adapté , intégré (colonie, atelier, sport, …)

  • Se focaliser sur les priorités et prendre un peu de recul et « relativiser » les choses ! (reléguer à plus tard certaines choses)

  • Dresser un bilan de l’année antérieure et se demander :

    • Qu’est-ce que je ne veux plus vivre cette année ?

    • Qu’est-ce que m’apporterait la sérénité ?

  • Apprendre à RESPIRER ! inspiration  3 secondes,  blocage 3 secondes et  expiration  6 secondes

  • Envisager le retour progressif à une organisation simple, naturelle et respectueuse de chacun (repas, bain, dodo,…)

  • Commencer à communiquer en parlant « positif » avec des mots rassurants et valorisants et donc se parler ainsi aussi !

  • Eclaircir les zones d’ombres et exprimer ses besoins

  • Faire un « bocal » de toutes les activités ou occasions que l’on pourra faire dans l’année !

  • Resserrer nos liens d’amour avec nos enfants en leur disant qu’on les aime et qu’ils sont importants, que l’on est disponible et à leur écoute !

  • Oser dire si vous n’avez pas la réponse pour ne pas angoisser à ce propos !

  • Ne pas oublier que la concentration optimale n’est pas immédiate, il faudra quelques jours pour la retrouver ! et que l’on sera plus rapidement fatigué !

  • Essayer de faire un planning type d’une semaine familiale affiché sur le frigo visible de tous

  • Partager avec sa compagne ou compagnon un agenda électronique familial afin que chacun connaisse les obligations ou interventions (bonne solution pour communiquer, on ne peut pas tout retenir dans notre tête !)

  • Conserver des moments juste pour soi !

  • N’oubliez pas qu’une organisation efficace est aussi une organisation flexible ! (les ajustements sont possibles).

 

La rentrée chez les Enfants suivant les âges

 

Motivé, il faut les motiver !

 

Souvent les parents se plaignent du manque de motivation des enfants (et quelque soit l’âge) qui plus est, dans notre société de performance et de compétition. Le spectre de l’échec scolaire sait hanter les familles !

Pour les motiver proposons leur de faire des travaux pratiques et moins de cours magistraux (faire un gâteau c’est mettre en action les multiplications, les quantités etc…, aller dans la forêt c’est explorer certaines sciences,…)

 

En primaire :

La principale peur de l’enfant est de ne pas trouver sa place à l’école ⇒ démotivation

 

« Faire ensemble » et « Etre ensemble » , favorisent la transmission plutôt que de grandes explications !

  • Proposer même s’il ronchonne des sorties au musée (relatif au sujet abordé à l’école) pour découvrir d’une autre façon les choses

  • Lui apprendre en douceur la frustration. La présence des écrans amène une passivité, proposer des créneaux d’utilisation de ces écrans. Ne pas répondre immédiatement à la demande de l’enfant mais le laisser agir , en lui indiquant comment faire plutôt que de faire à sa place. Cela suppose d’accepter que ce soit imparfait, mais comme disait la pub « c’est moi qui l’ai fait ! »

  • Développer sa CONFIANCE EN LUI c.a.d. sa confiance en :

    • son intelligence,

    • ses connaissances,

    • ses compétences,

    • ses capacités à prendre ses décisions,

    • sa capacité à faire une tâche,

  • Et si tout n’est pas ok, s’appuyer sur une de ses capacités pour lui permettre de développer les autres !

S’il a un sentiment de mal être lui proposer de dessiner ce mal être.

 

Les signaux de la démotivation en primaire sont :

  • Il a mal au ventre avant d’aller à l’école,

  • Il dit que la maîtresse ne l’aime pas

  • Il refuse d’être aidé,

  • Il n’a pas de copain

  • ….

 

Au Collège :

Le choc de la puberté fait qu’il y a souvent une perception de soi déstabilisante et cela peut le rendre moins disponible pour les apprentissages. Par contre la consommation des nouvelles technologies augmente, donc vigilance !

 

  • Proposer une autorité juste et bienveillante

  • Encourager son travail

  • Ne pas mettre la barre trop haut, ni trop basse non plus !

  • Le responsabiliser sans l’abandonner

  • S’intéresser à lui sans l’envahir

  • Définir un cadre clair

  • L’encourager à pratiquer une activité sportive ou artistique en dehors des cours

  • Ne pas se focaliser que sur ses performances scolaires

  • Eviter de lui dire qu’il travaille pour lui, il le sait déjà !

  • L’intégrer à des discussions avec des adultes en sollicitant son point de vue (via des revues échangées, des activités faites en commun, …)

  • Le soutenir en cas de découragement , accepter qu’il tâtonne d’un devoir à l’autre et l’accompagner pour trouver de quoi il aurait besoin pour la prochaine fois !

  • Repérer ses points faibles et souligner aussi ses points forts

  • Ne pas se focaliser sur ses notes et ne pas en faire un fromage

  • Lui faire voir qu’il y a un « lien » entre les parents et les profs

 

 

Les signaux de la démotivation au collège sont :

  • Il ne voit pas l’intérêt de ce qu’il apprend

  • Il n’arrive pas à se lever

  • Les profs sont nuls

  • Il oublie de rendre les devoirs

 

 

Au Lycée :

Le lycéen peut se sentir découragé à la suite d’une seconde difficile ou de la peur de l’avenir. A cet âge l’ado aspire à se libérer des contraintes scolaires et familiales,… (toujours plus d’amis, de web, de jeux, de sorties) ⇒ décrochage

 

  • Définir avant la rentrée un contrat concernant son engagement à équilibrer son travail et ses loisirs

  • S’il déroge au contrat , lui proposer de donner du temps de sa personne (comme de passer l’aspirateur durant 1 semaine ) plutôt que de l’interdire d’une activité importante pour lui et donc pour son équilibre

  • Encourager le travail en binôme ou en petit groupe

  • Discuter avec lui de ses envies, de ses besoins , de ses valeurs et de ses centres d’intérêts pour lui permettre d’élaborer son projet personnel

  • Transférer dans son travail scolaire ses compétences dans un autre domaine (il fait parti d’un groupe de rock ? parfait, il sait écouter, intégrer, …)

  • L’accompagner dans son projet pro. L’ aider à voir ses qualités , ses désirs, sans projeter nos propres envies (NB : certains sociologues prédisent que les ados d’aujourd’hui pourraient avoir  7 à 8 métiers différents !)

 

Les signaux de la démotivation au lycée  sont :

  • Il arrive en retard ou sèche

  • Il se sent en état d’urgence

  • Il n’arrive pas à se concentrer longuement

  • Il pense à son avenir et cela le stresse

  • Sa vie sociale est absente ou abandonnée

  •  …

 

La rentrée arrive !

 

La veille

Prendre le temps de passer en revue les éléments de la journée, et établir d’avance une routine ou un horaire de la journée, pour le rassurer

 

THE D DAY !

Essayez de prévoir un peu plus de temps le matin, vous serez plus détendu et donc votre enfant moins stressé.

Prenez votre Petit déjeuner ensemble et parlez avec légèreté, cela permet un réveil en douceur et plein de tendresse.

Souligner éventuellement chaque effort à chaque vêtement enfilé

Surtout à la sortie des classes , ne pas le passer à la moulinette à questions ! Le laisser parler s’il le veut, s’il ne dit rien cela lui appartient aussi, le laisser venir ! Et s’il parle, ne pas l’interrompre, laissez-le aller jusqu’au bout !

 

 

Quelques exercices pour se sentir plus léger pour les petits

 

Je suis un héros !

  • demandez à votre enfant de fermer les yeux et de penser très fort à 1 ou 2 de ses héros ou personnages préférés (dora, superman, Franklin la tortue, …)

  • lui proposer de marcher sur place comme s’il était accompagné de ces personnages protecteurs à ses côtés afin qu’il ressente la fierté et la sécurité

  • lui faire rouvrir les yeux et lui faire se souvenir que cette fierté et sécurité sont encore en lui ! qu’il peut refaire cela pour avoir LA FORCE

 

DOUDOU N’EST PAS LA !

  • S’il ne peut prendre son doudou, lui proposer de trouver sur le chemin un caillou (ou un autre objet) qu’il trouve beau ,

  • Puis, le mettre dans sa poche.

  • Lorsqu’il se sent triste lui proposer de serrer fort ou de caresser son caillou pour sentir son énergie qui est la même que celle du doudou. Ainsi il a son doudou tout le temps avec lui !

 

 

Pour conclure

 

Si le stress provient souvent des attentes des parents que l’enfant veut combler, il est aussi à considérer que souvent les enfants qui disent subir des pressions se les imposent eux-mêmes et bien au-delà de ce qui leur est demandé. Bref, ils se mettent sous pression eux-mêmes pour obtenir la meilleur note, la meilleure classification, le meilleur diplôme….

Des études récentes montrent que 50 à 70% des enfants en âge scolaire sont sujets au stress scolaire ! Car notre monde en perpétuel évolution met les jeunes devant de plus en plus de défis.

Et si vous vous sentez en difficultés dans cet accompagnement, n’hésitez pas à faire appel à un professionnel thérapeute pour qu’en quelques séances (parfois même une seule ), il vous accompagne pour poser les situations de manière plus sereine.

 

Je vous invite également à écouter mon intervention sur le sujet (en tant que consultante)   dans l’émission de Véronique Brettes « La Vie en Bleu » sur France Bleu Armorique en cliquant sur le titre ci-après : Combattre le stress généré par la rentrée des classes

 

Les chansons

 

Satine Walle la chanson de l’école https://www.youtube.com/watch?v=W6vBFWUcqYA

la chanson de l’école https://www.youtube.com/watch?v=hzu1jElAmVQ

Henri Dès – Les bêtises à l’école https://www.youtube.com/watch?v=_Uf3P6RD65w

 

Les films

 

Le Petit Nicolas – La remplaçante https://www.youtube.com/watch?v=9peUJ5l72GM

 

L’hypnose et les Thérapies Brèves  permettent de développer la confiance en soi et en les autres.

C’est une clé afin d’ obtenir et conserver une véritable sérénité face à ce qui se présente à nous et permettre ainsi de devenir un accompagnateur bienveillant et d’avancer  au mieux pour chacun.

Osez me contacter pour en parler.

 


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La Thérapie de couple

La vie en couple n’est pas toujours un long fleuve tranquille…

 

Tous les couples sont confrontés un jour ou l’autre à des difficultés. Cela est tout à fait normal.  

Les disputes, les crises, les conflits font souvent parti de notre vie de couple. A cela des raisons multiples comme : l’argent, l’infidélité, la jalousie d’un des conjoints, la belle-famille, les enfants, …

 

Alors, faut-il se séparer à la première difficulté ? C’est encore à voir…

 

Ne pensez surtout pas que vous êtes seuls à rencontrer des difficultés dans votre couple. Il en a été ainsi dans tous les couples un jour ou l’autre !

 

Votre couple est peut-être dans l’une de ces situations :

 

  • Vous n’arrivez plus à communiquer, à instaurer un dialogue constructif

  • Vous sentez de la lassitude

  • Vous ne vous sentez pas bien face à un changement de vie : déménagement, départ des enfants, travail, retraite …

  • Votre conjoint vous énerve

  • Vous n’arrêtez pas de vous disputer

  • Votre conjoint vous a trompé ou vous avez trompé votre conjoint

  • Vous vous auto-accusez en vous sentant responsable de la situation

  • Vous aimeriez vous en sortir mais vous ne savez pas par où commencer

  • Vous sentez bien qu’il y a un problème mais vous n’arrivez pas à l’identifier

  • Vous sentez la crise arriver et cela vous fait peur

 

Face à une de ces situations ou d’autres, vous ne savez pas par où commencer pour en sortir et faire que vous puissiez vivre plus simplement votre couple.

 

Pour cela la thérapie de couple est là pour vous accompagner à poser les choses afin que votre futur puisse être meilleur.

Plus les problèmes sont traités tôt, plus il est facile de les régler. C’est en réglant rapidement les petits conflits que l’on évite les gros !

 

Pour sortir de la crise, autorisez-vous à régler son origine !

 

Lors des séances, nous abordons les points suivants :

 

  • Comprendre les conflits dans notre couple

  • Comment apprendre à faire face aux difficultés de la vie ?

  • Comment faire face à la crise du couple ?

  • Analyser nos différends

  • Comprendre nos incompatibilités

  • Apprendre à gérer notre sensibilité dans les moments délicats

  • Comment transformer une remise en question qui semble irréversible en une opportunité de repartir d’un bon pied ?

  • Comment sortir tous les deux gagnants de la crise ?

  • Trouver l’origine profonde de la crise : Enfants, maison, construction professionnelle,…

  • Trouver les ressources pour nous donner les moyens de nous en sortir

  • Apprendre à gérer les crises de couple pour en sortir plus grand

  • Comment retrouver  un vrai dialogue ?

  • Identifier les symptômes et définir la/les cause(s) de la crise

  • Comprendre le déséquilibre de notre couple et ce que cela fait à chacun

  • Apprendre à ne pas sortir perdant d’une dispute

  • Apprendre à écouter

  • Sortir des conversations inutiles basées uniquement sur les reproches

  • Ne pas tomber dans l’auto-accusation

  • Restaurer la confiance en soi et en l’autre ainsi que la complicité

  • Comment vous soutenir mutuellement ?

  • Accepter de modifier ses habitudes pour traverser la crise

  • Donner du positif à la crise

  • Trouver la volonté pour surmonter l’épreuve ensemble

  • Faire le deuil du couple idéal

  • Réagir dès les premiers signes afin de ne pas laisser la crise perdurer

  •  …

 

Ainsi, vous pouvez mettre en place une nouvelle façon d’Être pour faire que votre vie de couple soit plus harmonieuse.

 

Selon une récente étude réalisée par l’INSEE, 53% des couples sont voués à se séparer. Mais sur la proportion qui reste ensemble, combien sont réellement heureux en couple ?

Si aujourd’hui c’est difficile pour vous, sachez qu’il n’est jamais trop tard. Tout dépend de votre capacité à gérer les conflits entre vous.

Cela réside dans la capacité du couple à faire face aux conflits, aux différences et aux crises.

 

 

 

L’hypnose et les Thérapies Brèves  permettent de développer la confiance en soi et en les autres.

C’est une clé afin d’ obtenir et conserver une véritable sérénité face à ce qui se présente à nous et permettre ainsi de devenir un accompagnateur bienveillant et d’avancer  au mieux pour chacun.

N’hésitez pas à me contacter pour en parler.

 


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Le RITMO®

Qu’est-ce que le RITMO®?

 

Le RITMO® est un outil de thérapie brève apparenté à l’EMDR (Eye Movement Desensitization and Reprocessing) associé à l’Hypnose. 

Il permet le retraitement de l’Information Traumatique par des Mouvements sensoriels (oculaires notamment) et a été créé par Lili Ruggieri.

 

                      Les personnes traumatisées ont des angoisses, revivent le trauma par des flashs, des cauchemars, des images intrusives,…

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Dès lors, elles évitent certaines situations, activités, pensées ou sentiments en lien avec le trauma et elles ont souvent des difficultés de concentration, un sommeil perturbé et/ou  ont du mal à contrôler leurs émotions

Et cela souvent bien après l’événement traumatisant ou le choc émotionnel éprouvé et subi dans le passé !

 

Le RITMO permet de modifier, non pas le souvenir de l’événement mais la perception de l’événement traumatique. Il active ainsi de nouvelles ressources dans la réalité présente.

 

Cette technique stimule certaines zones du cerveau impliquées (l’amygdale et l’hippocampe) et favorise la  dissolution de l’événement traumatique en le dissociant de l’émotion ressentie initialement.

 

Le RITMO permet de traiter :

  • Le Syndrome de stress post-traumatique

  • Les phobies et les peurs

  • Les angoisses, les anxiétés et les paniques

  • La dépression

  • Les addictions sévères, les compulsions et les obsessions

  • Les troubles du comportement

  • Les troubles sexuels

  • Le manque de confiance en soi 

  • Les difficultés relationnelles

  • Les douleurs chroniques et les troubles psychosomatiques

  • Les schémas répétitifs d’échec

  • La préparation mentale (artistes, sportifs, préparation aux examens,…)

  • De manière générale, tous les troubles survenant suite à un traumatisme.

Le principe consiste à provoquer  durant quelques secondes des stimulations bilatérales qui peuvent être visuelles, auditives ou encore tactiles ( par des tapotements sur les genoux ou les mains). Ces actions répétées activent les zones du cerveau concernées et développe le retraitement de l’information émotionnelle.

 

Le sujet modifie alors la perception de son expérience douloureuse. Il  dépasse cette expérience en  transformant sa perception par de nouveaux choix plus apaisants.

 

Le RITMO est une technique sécurisante, souple  et s’avère particulièrement efficace dans la libération des blocages inconscients et ceci de manière durable.

Même si la méthode est généralement utilisée pour un traumatisme identifié (agression, accident, viol, deuil,…), elle apporte aussi d’excellents résultats sur les blocages émotionnels, les compulsions, les peurs, ainsi que pour des préparations mentales à des événements à venir.

 

 

 

L’hypnose et les Thérapies Brèves  permettent de développer la confiance en soi et en les autres.

C’est une clé afin d’ obtenir et conserver une véritable sérénité face à ce qui se présente à nous et permettre ainsi de devenir un accompagnateur bienveillant et d’avancer  au mieux pour chacun.

N’hésitez pas à me contacter pour en parler.

 


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Elle court, elle court la rumeur…

Voici la définition du Larousse : « nouvelle, bruit qui se répand dans le

public dont l’origine est inconnue ou incertaine et la véracité

douteuse ».

 

 

La rumeur court, enfle, se propage.… Elle circule à toute vitesse, et s’immisce partout ! Elle a comme un goût d’authentique ! La rumeur fascine parce que cela interpelle notre besoin de connaissance et notre envie de maîtriser une situation ou de faire parti d’un groupe !

 

Elle peut être «sans importance » et ne pas durer. On pourrait dire que la rumeur est « une vérité qui se balade de bouche à oreille sans faire réfléchir les personnes ». Mais certaines peuvent aller jusqu’à nuire à une personne, à sa carrière et à sa santé. Comment faire face aux rumeurs et comment réagir ? Et ne pourrait-on associer rumeur à commérage ?

 

Ce que l’on peut mettre derrière le mot rumeur :

  • Les fausses informations, les fakes news, les préjugés

  • « les blondes ça sait pas réfléchir »

  • Le canular comme avec Orson Wells avec « la guerre des mondes » en 1938

  •  Les théories du complot , comme pour les attentats du 11 septembre où les avions n’auraient pas percuté les tours

  • Les légendes urbaines

  • Les ragots

  • La nomination d’un bouc émissaire

 

Qui est touché par la rumeur ?

Tout le monde peut être atteint par la rumeur que ce soit dans le cadre de la vie privée que dans le cadre professionnel. Il est à noter que de plus en plus de jeunes voire même des enfants le sont. Les cours de récréation mais aussi les nouvelles technologies sont de très bons vecteurs pour cela. Facebook, snapchat ….

 

Les expressions :

  • l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’ours

  • le téléphone arabe

  •  radio lavabo

  • on m’a dit…

  • il paraît que…

 

Qui c’est ce « on » ? :

En général la personne qui a lancé la rumeur n’est pas toujours connue. Si elle l’est, c’est souvent grâce à sa réputation (il est populaire ou diplômé de X) et cela donnera de la crédibilité à la rumeur. Si la rumeur est présentée comme une référence par un « spécialiste », elle aura encore plus de poids, car « on » associe souvent celui qui a l’autorité à celui qui sait !

Plus la rumeur est partagée par un grand nombre de personnes, plus elle prend de l’importance et devient crédible. Elle devient une « arme » de poids.

 

Qu’est-ce qui fait que l’on a envie de lancer une rumeur, de la colporter ou d’y adhérer?

C’est souvent l’esprit de vengeance qui nous pousse à lancer une rumeur sur une personne, car c’est un moyen très efficace de blesser, de détruire sa réputation… La rumeur « habille » sa victime d’une tenue qui ne lui va pas, mais qui devient son identité aux yeux des autres. D’ailleurs, il existe une expression qui dit « se faire tailler un costard ». Souvent la personne est discréditée aux yeux des autres. Parfois, celui qui lance la rumeur ne se rend pas vraiment compte des conséquences terribles que cela peut générer.

Aussi, lorsque l’on entend une rumeur qui concerne quelqu’un, naturellement on se prend à juger, à prendre parti, ce qui nous met dans une position de domination sur la victime. C’est un redoutable pouvoir que nous avons là!

Ce qui nous fait colporter la rumeur ? C’’est souvent la peur d’être exclu, ou le besoin de partager l’information pour pouvoir se rassurer sur son contenu, ou pour en discuter avec d’autres afin d’ essayer de convaincre ou de protéger…

 

Les rumeurs qui fonctionnent et ce qu’elles réveillent en nous ?

Pour qu’une rumeur soit efficace, il faut que son contenu nous intéresse et qu’elle concerne quelqu’un qu’on connaît (un copain, un voisin, un parent, une personnalité …).

Elle se nourrit de nos peurs conscientes ou inconscientes, et des idées stéréotypées. C’est d’autant plus passionnant si ça touche la vie privée des personnes, si l’on touche l’intime et qu’on la rend publique, ou lorsque ça touche « la morale » et donc ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas.

La rumeur réveille, interpelle en nous des réactions émotionnelles, liées à notre histoire personnelle, à nos repères familiaux, culturels, religieux, etc.

 

Quelles sont les attitudes à adopter face à une rumeur ?

Comment accompagner la personne qui subit la rumeur?

  • Lui dire que l’on est à son écoute

  • L’aider pour qu’il puisse être accompagné pour poser cette situation

  • L’aider à se soustraire de cette situation si on en a les capacités

  • Reconnaître sa parole

 

Face à une rumeur, quelques questions sont à se poser:

  • Sur quoi s’appuie cette info que l’on me donne ?

  • Cette information vient-elle de la personne elle-même ?

  • Ne serait-il pas plus simple d’aller directement questionner la personne visée ?

  • Qu’est-ce que moi j’ai compris de la situation ? et oser ensuite confronter sa vision à celle  des autres. Car certaines rumeurs ne sont pas fondées, n’ont pas d’élément déclencheur. Mais d’autres ont pour source certaines paroles, gestes, images, vidéos,… qui ont été mal interprétés (une attitude trop familière par ex.)

  • Ne dois-je pas informer quelqu’un au sujet de la rumeur avant que la situation ne dégénère ?

  • Cela relève-t-il de harcèlement moral ?

Notre seul pouvoir face à la rumeur est de contrôler nos réactions émotionnelles, de reconnaître l’autre en tant qu’être humain semblable à nous-même, avec toutes ses particularités, ses défauts et ses qualités, et de prendre un certain recul face « aux normes de la société » dans laquelle on vit.

 

Lorsque la rumeur va jusqu’au harcèlement

Parfois la situation va amener la personne à une dégradation de son état de santé que ce soit physique ou/et mental. Cela peut avoir des implications sur sa vie personnelle, familiale mais aussi professionnelle.

Il ne faut pas oublier que cela peut être puni par la loi sous la dénomination harcèlement moral, calomnie, diffamation.

En tant que citoyen, l’article 434-3 du Code pénal vous fait obligation à dénoncer les faits sous peine de poursuites pénales.

Il existe des structures d’aides aux victimes, il ne faut pas hésiter à les contacter pour échanger sur cela.

 

 

Les conséquences :

Dans les négativités d’une rumeur , on retrouve souvent la mise au ban d’une personne et le fait de la blesser, ajoutant parfois une certaine agressivité à son égard voire des humiliations. Ainsi son image peut avoir été dégradée du fait de cette rumeur.

Si cela concerne une entreprise, une institution , il peut y avoir de ce fait une détérioration du climat social. Cela peut entraîner une baisse de l’efficacité de travail, de l’organisation ou modifier la réputation de la structure à l’extérieur.

Dans la positivité, il peut y avoir renforcement des liens, du fait de vouloir mettre quelqu’un de côté ou faire que des personnes se rassemblent pour « faire front aux dires ». Dès lors, les personnes se sentent plus proches les unes des autres car elles partagent un point de vue commun ce qui les amène à ressentir un certain lien d’appartenance.

Les rumeurs sont souvent non vérifiables et peuvent créer des menaces qui ne verront jamais le jour .

La rumeur peut faire peur aussi dès lors que l’on s’identifie à la victime et l’on peut se dire que ce pourrait être nous…

La rumeur est d’une efficacité redoutable car elle atteint presque toujours son objectif. Elle se développe, se propage en faisant appel soit à des qualités manipulatrices que nous possédons tous, soit en faisant apparaître notre capacité à être manipulé. La manipulation et la rumeur fascinent et font peur en même temps… Mais pourquoi la rumeur a t’elle un tel pouvoir ?

 

Je vous invite également à écouter mon intervention sur le sujet (en tant que consultante)   dans l’émission de Véronique Brettes « La Vie en Bleu » sur France Bleu Armorique en cliquant sur le titre ci-après : Elle court elle court la rumeur

 

 

Les références d’accompagnements des victimes

 

Les références de films et musiques

  • Film « la rumeur » avec Shirley Mac Laine et Audrey Hepburn

 

 

 

L’hypnose et les Thérapies Brèves  permettent de développer la confiance en soi et en les autres.

C’est une clé pour obtenir et conserver une véritable sérénité face à ce qui se présente à nous et permettre ainsi de devenir un accompagnateur bienveillant pour avancer au mieux pour chacun.

N’hésitez pas à me contacter pour en parler.

 


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Les jeux du printemps

Les jeux du printemps

 

 

Après l’Orage…

 

 

Auteur Andréa Renaud, éditeur Zoé Yatéka Créations

A partir de 6 ans

Durée 20min.

De 1 à 5 joueurs

Après l’orage… le petit pont de bois est détruit, un mouton est séparé de son troupeau, un loup veut l’attraper et un castor répare son barrage.

Dans ce jeu coopératif, vous jouez tous ensemble. Votre objectif commun est de réparer le pont et de faire traverser le mouton sur l’autre rive. Pour réparer le pont, vous allez poser des rondins… Mais encore faut-il les avoir sciés auparavant !

Méfiez-vous du castor qui vous chipe des rondins pour son barrage, au risque de ne plus en avoir assez pour réparer le pont. Avancez judicieusement le mouton par rapport à la réparation du pont et du déplacement du loup et du castor.

Pour cela, à chaque lancer de dé, vous choisirez quel berger déplacer pour déclencher la meilleure action. Communiquez entre vous afin de bien coordonner ces actions pour réussir votre mission et éviter toute mésaventure.

Une belle histoire à conclure, en équipe, avec des scénarios différents à chaque partie.

Quelle en sera l’issue ? C’est à vous de jouer !

 

 

 

 

IMAGIDES

 

Auteur Emily Daly, éditeur Gigamic

A partir de 4 ans

Durée 20min.

De 2 à 12 joueurs

Imagidés est un moyen original et ludique pour faire travailler son imagination et encourager l’expression orale. Lancez les dés et laissez libre cours à votre créativité pour construire ensemble un récit à partir des images révélées. Sans compétition, Imagidés est un jeu universel, amusant et pédagogique, accessible à tous.

 


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Quand la Décoration fait du bien ! (article de Stéphanie Startchenko)

Quand la Décoration fait du bien ! 

(Article de Stéphanie Startchenko, décoratrice d’intérieur pour particuliers et entreprises basée sur Rennes)

 

La Décoration n’est souvent associée qu’à l’esthétisme et à une vision extérieure. Et si elle apportait bien plus…

En effet, on se consacre généralement à la décoration de son intérieur lorsque l’on emménage. Des années après elle reste à l’identique, ou une fois les cartons rangés, nous n’avons plus le temps de nous en préoccuper.

 

Beaucoup aimeraient la changer ou y apporter de petites modifications mais il faut trouver le temps, les bonnes idées, les bons achats en fonction du budget et surtout coordonner le tout !

 

 La décoration de son espace intérieur est un moyen de se ressourcer et aussi de partager des moments agréables avec sa famille et ses amis.

Que ce soit par la couleur, l’encombrement ou le vide, la lumière, l’agencement et/ou le choix de ses meubles, ils permettent de se rééquilibrer harmonieusement et de laisser s’exprimer son soi intérieur.

Aujourd’hui nous avons une multitude de styles et d’inspirations différents qui nous permettent de créer notre univers et de nous y sentir bien.

 

Le printemps arrive, alors sortons les pinceaux, libérons nos bonnes idées et

 

 

 

développons notre créativité !

 

Stéphanie STARTCHENKO

Décoratrice d’intérieur pour particuliers et professionnels.

Site internet : https://www.stephanie-startchenko.com


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Le grand Ménage du Printemps

Le grand « Ménage du Printemps »

Ou comment faire de la place pour ce qui compte vraiment maintenant pour vous

 

 

Avez-vous déjà entendu parler du « Ménage de Printemps » ?

 

Certains le font systématiquement à la venue de cette saison, d’autres se disent qu’un jour, ils le feront.

 

Et si cette année nous considérerions qu’il ne suffit pas seulement de passer un coup de chiffon à fond partout, de faire le tri dans les vêtements qui n’ont pas été portés depuis plus de 6 mois, de vider le fameux tiroir fourre-tout où attendent les éléments oubliés, mais aussi de nous dire que nous pouvons faire un « Ménage de Printemps » sur et en nous-même ?

 

Car le Printemps est une saison souvent synonyme de renouveau, apportant l’énergie, la lumière bienfaisante pour se sentir encore plus positif avec nous-même. Ce renouveau qui nous apporte une vraie force pour faire progresser ou réaliser ce que nous souhaitons.

 

Le Printemps synonyme de Ménage !

Et si nous nous disions que le printemps est synonyme de grand ménage, mais dans toutes les sphères de notre vie ? Au travail et dans nos projets personnels bien sûr, mais aussi dans nos relations, et dans notre tête. Ce peut être l’occasion d’évacuer, nettoyer, reconsidérer partout, là où on en a besoin (et même dans les endroits auxquels on ne pense pas!) pour faire de la place et libérer de l’espace pour ce qui compte vraiment.

Car, s’il est vrai qu’au début de l’année nous avons redéfinis nos envies et nos besoins, un trimestre est déjà passé et nous a permis de constater que, peut-être:

. Un trimestre s’est déjà écoulé et peut-être nous ne savons plus quoi prioriser?

· Nous nous demandons si ce que nous sommes et ce que nous voulons être sont en phase avec les objectifs que nous poursuivons depuis le début d’année?

· Nous ressentons le besoin de prendre une petite pause pour faire le grand ménage afin de donner un nouvel élan à nos rêves?

· Nous souhaitons profiter de l’arrivée du printemps pour développer nos idées

· Nous avons envie de renouer avec la sensation stimulante que nous avons ressenti en début d’année et qui semble se disperser, diminuer ?

Le Ménage dans tout ce qui constitue notre vie

On peut ainsi reconsidérer des « univers » auxquels on ne pense pas comme :

. Dans notre travail, afin de pouvoir se dire et regarder (voire analyser) les choses qui ne nous correspondent plus, ou prendre conscience de nos mauvaises habitudes qui ont le don de nous mener la vie dure. C’est aussi de voir ce qui nous enthousiasme, nous anime encore assez pour y consacrer énergie et motivation, et ce qui, avec le temps, est devenu une corvée plus qu’une fierté.

· Dans nos relations, afin de voir avec qui les instants sont plus tendus, quelles amitiés, quels rapports ont besoin d’un peu plus d’amour, d’attention, ou même d’honnêteté pour mieux avancer et évoluer.

·Dans notre tête, afin de pouvoir dire adieu à la culpabilité qui nous pèse, à ces crises qui ne nous sont pas nécessaires. Et tout ça avec un frigo propre, une garde-robe actualisée et un tiroir fourre-tout (vide-tout) vide 😉

 

Et si nous envisagions notre « To-do list » par une « Toute douce liste » ?

Si nous nous intéressons à notre vie on s’aperçoit que nous avons accumulé des choses et ceci, depuis trop longtemps. Peut-être avons-nous fait ces fameuses « To-do lists » (ou liste des choses à faire), et étrangement, il est des éléments qui passent d’une « To-do list » à l’autre, s’acharnant, perdurant malgré les années. Vous savez, ces choses qui viennent après « Un jour, je ferai… » ou « Quand j’aurai le temps, je… ». Des projets qui nous tenaient à cœur autrefois, mais qui ne sont plus à l’ordre du jour maintenant. Des hobbies, des envies qu’on voulait réaliser (un jour…), mais qui doucement prennent la poussière…

Ne serait-il pas intéressant de se poser un moment et de se dire, que non, après 3 ans, tel projet ou telle situation ne se reproduira plus ou pas… et qu’il est peut-être bien de l’évacuer ? Ainsi, nous pourrons passer de l’impression de pression (non nécessaire) à la libération d’un boulet.

C’est probablement la meilleure motivation dont nous avons besoin pour poursuivre avec seulement ce que nous souhaitons garder dans notre « programme principal ». Car soyons clair, avoir une « to-do list » avec des points qui nous chargent, ça nous freine !

Alors, autorisons-nous à constituer une « To-do list » réactualisée et pourquoi pas, créons aussi une « Toute douce liste ».

 

Cette « Toute douce liste », nous permettra d’écrire, de noter tout ce que nous souhaitons faire qui nous fasse vraiment du bien,

une liste de ces petites douceurs que nous pouvons nous offrir dans notre quotidien et qui ne prennent pas trop de temps ni d’argent obligatoirement , une liste qui en un sens pourra aussi rendre plus accessible l’exécution de notre « To-do list ».

 

Et si avec ce « Ménage de Printemps » nous pouvions nous sentir plus :

.En accord dans nos prises de décisions pour assurer notre succès, nos avancées

.Conscients de l’importance des mots, des termes que nous utilisons pour redéfinir nos objectifs

.Connectés sur ce que nous souhaitons vraiment réaliser d’ici l’été

.À l’écoute de notre instinct pour pouvoir définir nos choix

.Confiants face aux défis qui nous attendent au cours de ce trimestre

 

 

L’hypnose et les Thérapies Brèves  permettent de développer la confiance en soi et en les autres.

C’est une clé pour obtenir et conserver une véritable sérénité face à ce qui se présente à nous et permettre ainsi de devenir un accompagnateur bienveillant pour avancer au mieux pour chacun.

N’hésitez pas à me contacter pour en parler.

 


Les jeux de société et leurs références

Les jeux de société et leurs références

 

 

LA CHASSE AUX MONSTRES

 

 

Auteur Antoine Buzza, éditeur Scorpion masqué

A partir de 3 ans

Durée 10min.

De 1 à 6 joueurs

La chasse aux monstres est un jeu de mémoire coopératif. Pendant la nuit, des monstres se cachent sous le lit des enfants. Mais heureusement, un simple jouet les effraie! A vous de retrouver le bon jouet. Mais attention, si on se trompe trop souvent, de nouveaux monstres apparaissent. Et s’ils parviennent à encercler le lit, la partie est perdue. A vous de jouer !

 

 

 

 

Tout à fait adapté à un rituel du soir pour mettre doucement au lit les enfants de 3 ans et plus, ce jeu apaise volontiers les enfants et les mettent en situation d’en aider un autre. Pour les enfants qui ont peur des montres la nuit, c’est un jeu qui les aide à relativiser et à comprendre qu’ils peuvent avoir le dessus sur ces monstres ! Comme la difficulté adaptable le rend accessible au plus grand nombre, petits et grands peuvent jouer ensemble et s’entraider efficacement : la mémoire des uns viendra compléter la stratégie des autres. Ajoutez à cela un matériel réussi (quelle que soit l’édition) et des graphismes accrocheurs : quel que soit votre âge, vous passerez de très jolis moments autour de ce jeu.

 

 

 

RUSH HOUR

 

 

Editeur Thinkfun

A partir de 8 ans / adultes

Durée 10min.

De 1 ou collaboratif

Découvrez 40 défis de niveau progressif, pour petits et grands. L’objectif est de sortir la voiture rouge d’un gros embouteillage en faisant glisser sur le plateau les véhicules qui la bloquent. À vos méninges, prêts, partez ! Logique, réflexion et déduction pour tous les âges !

 

 

 

 

 

 

MÖLKKY

 

 

A partir de 6 ans

Durée 30min.

A partir de 2 joueurs

Tout comme la pétanque ou le bowling, le mölkky est un jeu d’adresse qui se pratique le plus souvent en équipe. Mais celui-ci demande une bonne dose d’habileté couplée à une stratégie bien rodée. En effet, le jeu nécessite de marquer un total exact de 50 points. Ni plus, ni moins au risque de voir son score chuter à 25 si celui-ci était dépassé. Ce qui peut s’avérer délicat sachant que le nombre de points obtenu est très variable : si un lanceur atteint une seule quille en un coup, il va récolter la valeur numérique inscrite dessus. En revanche, s’il en touche plusieurs à la fois, le nombre de points sera équivalent au nombre de quilles (c’est-à-dire 3, si il s’agit de 3 quilles mises à terre par exemple).

Le mölkky nécessite un bâton en bois, plus léger à porter qu’une boule de pétanque. Ce qui en fait un jeu plus accessible pour les enfants et les personnes ayant des problèmes d’articulations ou de dos.


Et si les écrans envahissaient moins notre quotidien ?

Et si les écrans envahissaient moins notre quotidien ?

 

 

Aujourd’hui les écrans prennent une place de plus en plus importante dans nos vies.

La télévision, les tablettes, les ordinateurs, les téléphones, les consoles…

Chaque jour nos enfants et nous, côtoyons au moins l’un de ces écrans.

Alors comment faire pour que ces écrans ne prennent pas trop de place dans notre vie et dans celle de nos enfants ?

Quels sont les dangers d’une exposition trop forte aux écrans ? Comment faire pour que cette proximité avec tous ces écrans ne nous rendent pas « addict »?

 

Quelques chiffres comme entrée en matière histoire de savoir ce de quoi nous parlons. Ainsi :

Entre 4 -14 ans = 3 heures/jour de TV

50 ans et plus = +5 heures/jour de TV

Usage récréatif (TV + tél.+ ordi. + jeux) pour les 8 – 18 ans = 7 heures/jour soit 3,5 mois par an !

SMS Ado : 3700 à 4000 échangés par mois soit 120-130/jour y compris la nuit !

Plus de 2 heures de TV par jour équivaut à 40% de temps en moins pour interagir avec sa famille

 

La vie de famille et les écrans

Notre attention et notre temps disponible est de plus en plus accaparé par les écrans quel que soit notre âge. Certains foyers mangent devant la télévision, d’autres gardent le téléphone à portée de main en toute occasion même à table. Dans de telles situations, la relation familiale est quasi absente, le dialogue et la communication sont étouffés. Car, le fait de se savoir « connecté » est tellement fort et puissant que nous portons plus d’intérêt à tous ces écrans qu’aux membres de notre foyer.

De nombreuses personnes travaillent avec les écrans comme support, même les enfants en milieu scolaire en font l’usage. Nous sommes donc de fait quotidiennement exposés aux écrans. Aussi, nous devons savoir ou apprendre à nous en protéger, à nous en détacher et à en gérer l’utilisation.

Face à cet envahissement, il est important de montrer l’exemple aux enfants. Car, en ne faisant pas des écrans une priorité, nous leur transmettons un message: celui de leur faire comprendre que la vie est riche, que l’on trouve du plaisir dans de très nombreuses activités, que l’on peut privilégier les rencontres, les échanges et les sorties.

 

Lorsque nous,  parents,nous montrons qu’il est possible de faire d’autres choses que d’être devant les écrans, et ce dès le plus jeune âge, les enfants le comprennent et sont ensuite capables de réguler leur rapport aux écrans beaucoup plus facilement en grandissant.

 

Cela leur permet aussi d’échanger davantage, le langage devient plus fluide et plus riche et ils développent  ainsi  une capacité d’attention et d’écoute.

 

 

Les dangers d’une exposition quotidienne aux écrans


Il faut savoir que notre cerveau fonctionne avec des ondes mais les écrans envoient aussi leurs propres ondes qui de ce fait viennent modifier le fonctionnement de nos ondes cérébrales.


Il est reconnu que la télévision plonge notre cerveau et notre corps dans un état de passivité proche de l’état hypnotique. Les informations regardées viennent donc directement s’inscrire dans notre inconscient.


D’ailleurs, les producteurs, les réalisateurs, les animateurs d’émissions de télévision ont bien compris ce principe. Leur travail consiste à rendre notre cerveau plus malléable, plus disponible afin que nous soyons très réceptifs aux messages publicitaires.


A ce propos l’ex-PDG de TF1, Patrick Le Lay disait :

« Il y a beaucoup de façons de parler de la télévision. Mais dans une perspective ”business”, soyons réaliste : à la base, le métier de TF1, c’est d’aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit (…). Or pour qu’un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c’est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c’est du temps de cerveau humain disponible (…). Rien n’est plus difficile que d’obtenir cette disponibilité. C’est là que se trouve le changement permanent. Il faut chercher en permanence les programmes qui marchent, suivre les modes, surfer sur les tendances, dans un contexte où l’information s’accélère, se multiplie et se banalise. « 

 

 

Le neuroscientifique Michel Desmurget a d’ailleurs écrit un livre fort intéressant  » TV lobotomie : la vérité scientifique sur les effets de la télévision « . Dans cet ouvrage, il nous indique que les enfants sont très influencés par la télévision, qu’elle dispose d’un pouvoir sur eux qui les rend totalement absorbés par elle et que de ce fait, leur imagination  s’en trouve impactée mais de façon néfaste.

« La télévision capture l’imagination mais ne l’affranchit pas. Un bon livre stimule et libère immédiatement l’esprit. » Michel Desmurget.

 

Dans la vidéo que je vous propose de regarder par la suite, ce même neuroscientifique nous parle des effets de la télévision et des jeux vidéos. Il suffit de cliquer sur l’image.

 

Daniel Desmurget y précise :

« Un enfant passe plus de temps devant la télévision que devant son instituteur dans une année !!! »

 

Ainsi donc, les écrans mal gérés dans la famille peuvent être néfastes pour les enfants, surtout pour les plus petits qui ne sont pas suffisamment matures pour prendre le recul nécessaire. Car il faut savoir que les écrans peuvent déclencher des émotions très fortes qu’ils ne peuvent gérer et donc de modifier leurs aptitudes  notamment en terme de vigilance.

 

Il semble primordial de ne pas mettre les enfants devant la télévision, la tablette ou le téléphone trop longtemps chaque jour et de ne pas considérer l’écran comme un doudou ou une nounou.

Quand l’écran devient une addiction

La télévision et les écrans en général peuvent très vite prendre beaucoup de place dans notre vie et celle des enfants.
Lorsque l’enfant est exposé très tôt à la télévision il peut développer un reflex de Pavlov.

Par exemple, dès que l’on est réveillé on commence par regarder son téléphone, ou pour les plus petits dès qu’ils sont débout ils vont aller allumer la télévision avant qu’on ne leur apporte leur petit déjeuner devant. Mais ces réflexes s’installent aussi chez les adultes…

 

Les écrans peuvent très rapidement nous rendre « addict » car ils entraînent un état de passivité qui ne demande pas d’effort à fournir, ni physique ni cérébral. C’est donc une activité très attrayante pour les enfants comme pour les adultes, notamment lorsque nous sommes fatigués. Le problème pour les enfants c’est que cela va les énerver et ajouter de la tension à la fatigue. Dès lors, la crise n’est plus très loin…

 

Lorsque l’habitude est installée, les enfants s’accoutument aux écrans et le temps disponible pour jouer, créer, imaginer, se dépenser (et ne rien faire aussi) est alors très nettement diminué. Mais il en est de même pour nous les adultes qui ne parvenons plus à lire, échanger, nous poser, en dehors de ces petites lucarnes.

 

Alors, proposons nous tout autant qu’à nos enfants de nous reconnecter avec la nature, avec ce et ceux qui nous entoure, à aller chercher de nouvelles choses comme un jeu, un livre, une création et ressentons comme nous sommes contents d’avoir fait cela par la suite.

 

 

Les problèmes qu’apportent les écrans sont réels. Les enfants très exposés à ces fameux écrans sont plus susceptibles de développer des troubles attentionnels, des troubles du comportement et des troubles du sommeil. Il a été mis en évidence qu’ils ont trois fois plus de chance d’être en surpoids et augmentent de plus d’un tiers le risque d’échec scolaire et d’attention. Cette liste de dangers n’est malheureusement pas exhaustive .

Il a même été constaté au Japon que de plus en plus d’enfants étaient myopes du fait des écrans. Suite à cette étude, il a été proposé à des écoles d’allonger la durée de la récréation (amenant les enfants à regarder à une plus grande distance ce qui les entoure) et ainsi, ils ont pu constater que la myopie a notoirement baissée auprès de ces enfants comparés aux autres écoles.

Pour les adultes, il en est de même avec l’attention qui vacille d’une part et un risque accru d’AVC d’autre part.

 

Alors, et si nous nous déconnections un peu plus pour nous retrouver déjà avec nous-même et ensuite avec les autres ?

 

Et si nous considérions la consommation d’écran comme n’étant qu’une petite partie de notre quotidien pour laisser plus de place pour vivre simplement avec ce qui nous entoure et que nous nous sentions libre de choisir ce que nous voulons faire plutôt que de subir ?

 

Autorisons-nous à aller faire un petit tour autour de chez nous pour découvrir des lieux sympa et conviviaux.

 

Autorisons-nous à pousser la porte des boutiques de jeux de sociétés (qui marchent tous seuls sans piles et sans écrans), autorisons-nous à passer juste un moment paisible avec une petite musique en fond sonore tout en nous relaxant…

 

Bref, autorisons-nous à nous déconnecter !

 

 

 

L’hypnose et les Thérapies Brèves  permettent de développer la confiance en soi et en les autres.

C’est une clé pour obtenir et conserver une véritable sérénité face à ce qui se présente à nous et permettre ainsi de devenir un accompagnateur bienveillant pour avancer au mieux pour chacun.

N’hésitez pas à me contacter pour en parler.

 


Tabac, et si on devenait « NON FUMEUR »?

Tabac, et si on devenait « NON FUMEUR »?

 

 

Qui n’a jamais entendu les mots Nicorette, Nicopatch, NTB,  Zyban, Champix, Tabac info services…?

Depuis longtemps, il est proposé de nombreuses méthodes et des médicaments pour aider les gens à cesser de fumer.

Mais comment se fait-il que si peu de personnes parviennent à devenir « NON FUMEUR » définitivement ?

Et si l’Hypnose était La Solution rapide et efficace pour être « NON FUMEUR » ?

 

Qui n’a jamais réussi ou connu une personne qui a arrêté de fumer et a repris et qui se dit : « j’aimerais tellement devenir définitivement « NON FUMEUR  » !

Qu’est-ce qui fait que ce soit si compliqué d’écraser définitivement la cigarette ?

Et si c’était parce que simplement l’on croit qu’on est « Dépendant » du tabac et que l’on ne dispose pas de suffisamment de « volonté » pour s’en sortir ?

 

Et si grâce à l’Hypnose on parvenait à changer des croyances pour devenir libre de choisir à plus de liberté ?

 

Certes nous disposons d’une foultitude d’informations (parfois contradictoires) sur la « dépendance » à la cigarette, mais comment se fait-il que de très nombreuses femmes enceintes s’arrêtent illico de fumer dès lors qu’elles ont connaissance de leur grossesse et cela sans stress et sans médicaments, tout en restant zen et souriantes ? Serait-ce dû juste à une hormone produite lors de la grossesse ?

 

Mais dans ce cas, comment se fait-il que l’entourage soit tout aussi capable d’arrêter la cigarette en même temps tout en restant bien dans ses baskets ? Pourtant l’entourage ne peut pas arguer qu’il a développé une hormone spécifique …

 

Et si on considérait autrement les croyances liées à la cigarette pour faire que l’on puisse devenir « NON FUMEUR » rapidement, en se sentant bien et libre ?


Tenez, je vous propose de faire une liste à la Prévert de vos croyances installées qui concernent l’arrêt de la cigarette et échangeons à ce sujet si vous le voulez bien…


Je vous invite aussi pour ceux qui sont déjà parvenus à arrêter de fumer de faire une liste des bienfaits ressentis lors de cet arrêt.


Et pour aller encore plus loin, voici une petite vidéo qui vous explique les bienfaits 
sur notre corps à devenir « NON FUMEUR » . Et vous allez vous rendre compte que certains bienfaits arrivent très rapidement, dès 20 minutes après…

 

Alors, qu’est-ce qui fait que l’on soit encore fumeur tout en sachant que dans chaque cigarette il y a :

4600 Produits Chimiques

dont

70 Cancérigènes

20 Mortels.

 

 

Pourquoi est-ce si compliqué d’écraser ?

 

Peut-être que c’est juste une question d’informations erronées qu’il suffit de laisser tomber lorsque l’on découvre les vrais raisons, les éléments et les informations qui vont nous donner les ressources pour devenir définitivement « NON FUMEUR ».

 

Pour cela, l’Hypnose développée avec la méthode ATH est là pour vous accompagner. Ainsi, en deux séances ( espacées de deux semaines dont la première dure environ quatre heures), vous devenez « NON FUMEUR » de façon pérenne et en toute simplicité.

 

Sachez que 3 personnes sur 4 sont devenues « NON FUMEUR » à l’aide de cette méthode.

 

Je suis à votre écoute pour échanger et pour vous accompagner dans le Choix d’ être « NON FUMEUR ».